1. La Révélation de Sophie (4)


    Datte: 23/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de cette histoire. Elle mentirait en prétendant qu’elle est surprise qu’il soit posté, à l’attendre, exactement au même endroit. Il ouvre la porte d’entrée, s’efface pour la laisser passer : « Allez, vient recevoir ta branlée. » Elle pénètre dans le couloir sans protester. Elle n’a aucune envie d’être encore cravaché. Ce n’est pas tant la docilité qui l’inquiète que les conséquences de cette obéissance : elle devient une vicieuse ! « Baisse ta culotte. » Elle voudrait argumenter. Au moins le prévenir : elle est sale entre les cuisses ! Forcément, depuis tout à l’heure, elle n’a pas pu se laver. Son sexe est imprégné par les stigmates de la masturbation du début de matinée. Les humeurs vaginales engluent ses grosses lèvres. Mais elle n’ose pas parler. Elle s’exécute. Elle s’attend à une réflexion odieuse. Il ne va pas se gêner pour lui dire qu’elle pue. Mais il ne remarque rien. Cette souillure l’indiffère peut-être. L’excite ? En tout cas, l’absence de réaction facilite les choses. Car exhiber sa minette devant ce porc, geste il y a quelques jours inimaginable, ne relève plus de l’impensable. Il a déjà été commis, sans déclencher d’apocalypse, juste une révolution existentielle, il suffit de le reproduire et de renouer avec le bouleversement. De le banaliser. Elle s’habitue au rituel, elle en connait les tenants humiliants mais aussi les aboutissants absolument jouissifs. « Mains sur la rambarde, penche-toi en avant. Cependant, elle ne veut plus être cravachée. — Vous ...
    ... n’allez pas me frapper… — Mais non petite dinde. Je vais juste enduire de crème réparatrice ton adorable petit cul. Je ne veux pas que la cravache laisse des traces. Hors de question d’abimer un bijou aussi précieux. — Monsieur, s’il vous plait ! — Sauf si tu insistes pour te faire à nouveau cravacher ? C’est toi qui décide, ma puce. » Elle se plie et, culotte baissée sur les cuisses, offre son arrière train. Le porc trousse la jupe sur les reins. Elle est rouge de honte, n’ose imaginer sa position, sexe et postérieur scandaleusement, crument, dans leurs moindres recoins, exposés au regard du pervers. Mais aussi à son odorat car les remugles du con poisseux emplissent l’atmosphère. Corruption odorifère dégradante, pire que du poisson pourri. Et comble de la dévaluation, elle va maintenant subir des attouchements immondes. Le porc enduit de crème la chair plantureuse, la masse à pleine main consciencieusement l’étire, sans gêne aucune la pétrit. La respiration de Sophie s’accélère encore quand il écarte la rainure des fesses, s’approprie du regard l’endroit le plus intime. Elle se sent déshumanisée de lui offrir ainsi le fondement de son être, ce lieu de toutes les impuretés qu’elle soumet complaisamment au bon vouloir du porc. Et si son anus n’était pas parfaitement lavé ? elle voudrait tant ne pas être spectatrice de sa propre déchéance. Elle voudrait surtout ne pas être troublée alors que porc en remet une couche épaisse, que ses mains s’ébattent à nouveau sur le large champ ...
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