1. La Révélation de Sophie (4)


    Datte: 23/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... fessier. Les doigts patinent, glissent, la crème apaisante pénètre l’épiderme… Et Sophie ne peut le nier, c’est odieusement agréable. Et puis elle se crispe car les doigts filent vers la fourche, maintenant, ils rodent entre ses cuisses, autour de son nid, s’approchent toujours plus des lèvres intimes, jouent avec la plasticité des chairs et ainsi, en distendant les lippes provoquent des bâillements équivoques du sexe de la jeune vierge. Ce vagin qui exhale le stupre. Malgré elle, Sophie est terriblement excitée ! Le porc constate la disponibilité : « Comme ça te fait du bien ! » Et il n’interrompt son manège abject que pour monter en gamme dans l’ignoble. « Et maintenant, une bonne branlée ! » Conditionnée, Sophie commence à se redresser, dans l’intention de lui tendre la minette par devant. Mais le porc en a décidé autrement. En appuyant d’une main ferme sur les reins de sa proie, il lui impose l’immobilité : « Non, reste comme ça, ma puce. Je vais te branler dans cette position. » Elle n’a pas le temps de rétorquer, et de toute façon à quoi bon puisqu’il a toujours le dernier mot. L’embout vibrant se plaque à sa vulve, la horde hérissée s’active, le clitoris est immédiatement en situation d’alerte maximum ; un interrupteur qui ouvre en grand des vannes enchanteresses. Sophie, ne résiste pas, pousse un miaulement de contentement, le premier d’une longue série crescendo. Les digues sautent une à une. Les jambes entravées par la culotte, elle rue dans tous les sens. Le fleuve ...
    ... la submerge. Le porc, sa sale patte appuyée sur le bas des reins, la maintient en position, et de l’autre, il machine le sexe avec le vibromasseur. Elle s’entend crier, elle ne reconnait pas sa voix, ce sont ses entrailles qui beuglent. Elle ne s’appartient plus. C’est trop puissant !!! Un raz de marée de jouissance… Il n’y a pas de mot pour dire la puissance de l’orgasme… La vague n’a aucune de consistance pourtant elle est infrangible, les ondes divines l’aspirent, la maintiennent au firmament… quelques secondes ou un siècle… refluent… non, elles reviennent encore, avec moins d’intensité quand même, mais son corps n’obéit toujours pas. Esclave de la boule aux miles petits tétons vibrants qui s’acharnent sur son clitoris, Sophie replonge, refait enfin surface, enfin le porc la libère, encore quelques répliques, quelques spasmes dans son ventre, quelques convulsions incontrôlables de sa jambe gauche… ça y est, c’est fini… Oufffff…. Cette fois-ci, le porc a chronométré. Sophie n’avait pas remarqué l’Iphone posé en équilibre sur la rambarde de l’escalier. Il arrête le chrono et faussement enthousiaste et réellement narquois, il annonce un record : « 3 minutes et 50 secondes ! Tu es hyper réceptive à la branlée. Avec un peu d’entraînement, je suis sûr que tu peux descendre sous les trois minutes ! » Elle était hors du temps, prise dans la fulgurance de fractions de seconde pour une intensité éternelle. Mais lui est bien plus pragmatique : « Tu es trop détrempée pour remettre ta ...
«1234...12»