1. Épisode VI : À mon tour ?


    Datte: 23/09/2020, Catégories: fh, jeunes, frousses, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral pénétratio,

    Cette journée-là. j’avais congé. C’était un vendredi je crois… Marianne et Sandra travaillaient, et Andrea, toujours à la recherche d’un emploi, passait le plus clair de son temps à l’appartement. (Une technique tout à fait efficace pour trouver un emploi, cela va sans dire…) Nous dînions ensemble et nous parlions de nos colocataires. C’est à ce moment que je sus qu’Andrea avait couché avec Marianne. Piquant ma curiosité, je lui demandai quelques détails et, sans aucune discrétion, l’Américaine m’avoua avoir découvert Sandra et son regard troublé. Je ne fus guère surpris et quand Andrea me demanda si moi-même j’avais couché avec l’une ou l’autre (elle devait bien s’en douter mais jouait un peu avec ma gêne), je répondis franchement qu’oui. Elle m’accorda beaucoup d’attention, me pressant de question sur Sandra. Après près d’une heure, elle m’avait tiré les vers du nez, apparemment très heureuse. Elle savait que Sandra aimait être soumise et sodomisée. Je me demandais si tout ça était une bonne idée, mais quand Andrea m’avoua être très attirée par Sandra et qu’elle voulait la faire jouir, je me calmai et repris confiance en elle. C’était maintenant à moi de poser des questions sur Marianne et sur Andrea surtout. Comment aimait-elle le sexe ? Elle en parla très ouvertement, autant de son expérience irréelle avec Marianne, qui était décidément d’un naturel fou, que de son expérience en général. Elle pratiquait beaucoup de choses, mais particulièrement la fellation profonde ...
    ... et la pénétration un brin sauvage et sans trop de préliminaires. Pour elle, le sexe pour le sexe, sans amour, restait quelque chose de bestial et un besoin de se « vider de certaines frustrations » - le terme vider me semblait plutôt approprié, surtout pour les hommes. Andrea n’était ni gênée par le goût du sperme, ni celui de la cyprine. À cette annonce, mon sexe prit quelque peu vie et je me tordis un peu sur ma chaise, ce qui ne manqua pas à son attention parce qu’elle eut un sourire coquin et amusé. Elle se rapprocha alors de moi, de son déhanchement enchanteur. Je pensais bien que, pour elle, la seule démarche possible soit féline et sensuelle au maximum, elle ne bougeait que de cette manière. Bref, elle se coula près de moi, commençant à me poser des questions plus personnelles et tout, comment j’aimais les femmes, blablabla. Je repris une certaine contenance, après tout, j’étais dans une phase où je me sentais plutôt sûr de moi. Je déblatérai des choses similaires à ce que j’avais dit à Sandra des semaines plus tôt. À voir ses seins qui déformaient le mince t-shirt qu’elle avait, sa peau chaude et ses lèvres, je commençais à développer une sérieuse érection, mais je ne me tortillais pas pour le prouver. Ayant épuisé le sujet (parce que ça s’épuise ?), nous nous sommes séparés : elle devait – encore – pratiquer sa danse. De mon côté, je m’installai au salon pour écouter un film. J’entendis de loin en loin le son étouffé d’une musique latino. « Elle a dû se mettre dans ...
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