1. Épisode VI : À mon tour ?


    Datte: 23/09/2020, Catégories: fh, jeunes, frousses, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral pénétratio,

    ... et j’y voue encore un culte sans borne. Je ne devais pas perdre mon rôle de dominateur, bien que toute volonté s’effritât rapidement. Je caressai ses jambes, ses cuisses longuement, avec toute la force douce de mes mains. Elle râlait puissamment, je la croyais à bout de souffle, comme si elle venait de rattraper son bus. Mais toujours cette maudite robe. Il me vint en tête de la déchirer proprement (C’était réellement un fantasme chez moi, cette sauvagerie sexuelle, cette soif dévorante) et je lui murmurai à l’oreille : — Si tu n’ôtes pas cette robe à l’instant, je la déchire. La réponse qui suivit fit dresser mon sexe si fort que je dus me contenir pour ne pas tomber à genoux en geignant. — Déchire-la, prends-moi comme une bête. Marianne souffla, entre deux inspirations, ces mots qui me restèrent longtemps en mémoire. Nous avions presque changé de rôle, mais avec toute ma force brute, je saisis sans attendre le bas de la robe et, galvanisé par l’excitation, je tirai de toutes mes forces. Le craquement fut sonore et long, le temps pour moi d’un seul coup d’arracher cette damnée robe moulante. Elle frémissait et me regardait toujours, les yeux incandescents. Je rompis une bretelle, fit tomber la robe par terre et contemplai à nouveau ce dos, barré de ce maudit soutien-gorge. Je le dégrafai agilement et elle s’en défit d’un rapide mouvement. Je me plaquai contre elle, pressant ma queue raide contre son cul. Je massai avec force ses flancs, montant vers sa poitrine que je ...
    ... soupesai, que je frottai sans cesse. Elle ne savait plus où se mettre, tenant ses bras au-dessus de sa tête. Une véritable offrande, un véritable appel au viol. Je retournai brièvement dans mon personnage et je la fis pivoter. Dès que ce cou gracile m’apparut, j’y plongeai la tête, alors qu’elle fouillait mes cheveux d’une main tremblante. J’étais devenu un loup tendre : mordant doucement sa peau, la léchant tendrement, caressant, hanches, fesses et cuisses, grattant de mes doigts. Je la soulevai sans difficulté, l’asseyant sur le rebord d’une tablette pour descendre lentement et langoureusement la bouche sur sa poitrine. Mon sexe, à travers mon jean, se frottait au sien et je le sentais mouillé, tandis que mes mains enlaçaient ses cuisses. Je trouvais tout mon plaisir à l’écouter murmurer de désir, soupirer et gémir, alors que je mangeais goulûment ses nichons. Je donnais parfois de petits coups de dents, je poussais avec ma tête, si bien que je la sentis se couvrir de chair de poule, ses mains me griffant le cuir chevelu. Marianne lâcha un long cri, fort et un peu plaintif et je sentis l’humidité de son sexe me mouiller le jean ; je la sentais à travers mon boxer, je la sentais contre ma hampe dure. Je frottai ma bosse sur sa chatte qui s’ouvrait déjà pour accentuer son plaisir et elle jouit ainsi, complètement ivre de plaisir. Toute pantelante qu’elle était, je la reposai sur le sol, la soutint un instant, pour qu’elle reprenne conscience et me transperce de ses yeux verts ...
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