1. Épisode VI : À mon tour ?


    Datte: 23/09/2020, Catégories: fh, jeunes, frousses, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral pénétratio,

    ... s’éclatait vraiment comme ça, j’allais faire ce que je pouvais pour la faire jouir un max, pour lui faire perdre pied. Je n’avais aucune idée de ce que je pouvais faire. Je pensais aux mots crus et secs… mais, moi-même, ça ne m’excitait pas tellement, je préfère les bruits des respirations et les gémissements à des termes grossiers que j’estime sans intérêt. C’était du pareil au même pour les outils… en général, je voyais la domination avec laisse, menottes et fouet. Maintenant ma version a été subtilisée avec le temps, mais reste que les rapports de domination ne m’intéressent pas tellement. Une expérience en valait certainement une autre ! Mais la vigilance était de mise. Je devais faire attention à ses réactions et je devais peser mes gestes. Dans tout bon film porno américain, le personnage mâle domine la femme (complètement consentante chaque fois) dans 90% des cas. J’avais donc constaté un grand nombre d’actions, de gestes et de paroles de domination. Vive l’instinct ! Alors qu’elle regardait toujours l’arrière de son livre, j’enlevai mon t-shirt, question d’être plus à l’aise. Je me plaquai derrière elle et posai mes mains fortes sur ses hanches. L’une descendit sur sa fesse, que je malaxai puissamment, l’autre monta sur sa nuque et son cou. Jusqu’à maintenant, elle se laissait faire et s’était même cambrée un peu sous le poids de mes doigts. Je massais ses épaules et mes doigts passaient de plus en plus sur ses clavicules, caressant son cou. J’écartai la bretelle de ...
    ... sa robe et mordit son épaule. Elle lâcha une longue expiration bruyante. J’apercevais ses lèvres s’ourler en un sourire de plaisir. Ma main passa sous son bras et saisit un sein lourd, dont la pointe semblait frémir légèrement. Je le pétrissais, le cajolais sur toute la surface, oubliant presque l’espace d’un instant le téton dur. La main qui massait sa fesse retroussa la robe assez sauvagement pour que le corps entier de Marianne sursaute. Elle poussait son bassin vers moi, voulait s’enfoncer ma main sous la peau. Mais je n’avais que faire de cette robe qui n’avait fait que m’aguicher. Maintenant, je voulais la voir nue, pour la posséder entière. Je lâchai son sein et d’un autre mouvement brusque, je lui relevai la robe entière sur les hanches, dévoilant une jolie culotte blanche en dentelle. — Enlève ça, ordonnai-je en passant mes doigts sous le bord de la culotte. Mon premier ordre. Il fut un coup de fouet pour tous les deux. Elle tressaillit et j’eus peur de l’avoir refroidie. Et moi, je me sentais bizarre. Mi-excité, mi-troublé. Mais elle réagit vivement en prenant sa culotte de ses mains fines et en la faisant descendre vivement pour ensuite la quitter et écarter doucement les jambes, dévoilant sa fente trempée, ses fesses rouges de mes caresses. Je restai ébahi un instant. Ce que j’aime les dos de femmes ! Dans toute circonstance. Son visage rouge, appelant mes mains sur son corps, sa nuque et ses cheveux en bataille, la robe retroussée, les fesses charnues. J’y vouais ...
«1234...9»