1. Épisode VI : À mon tour ?


    Datte: 23/09/2020, Catégories: fh, jeunes, frousses, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral pénétratio,

    ... jouissance. J’enfilai tout de même mon boxer. J’avais une irrépressible envie de garder sur moi le fruit de ma fierté. Elle-même commença à ramasser ses vêtements qui jonchaient le sol. Je l’observai qui se rhabillait, souriante, enfilant ses sous-vêtements, laissant tomber la robe qui était plutôt en piètre état. Je sortis avant elle de la bibliothèque, refermant les portes pour la laisser à son intimité. Le téléphone rugit soudainement et après deux sonneries, j’entendis Marianne qui parlait d’une voix tremblotante à quelqu’un. Elle était euphorique et se mit à papoter énergiquement. Décidément, je n’avais pas manqué mon coup. Quelque peu claqué, je me dirigeai vers ma chambre. Je m’affalai sur mon lit et croisai les bras derrière la tête, question de réfléchir en fixant mon plafond. Je me rendis compte alors du fond de musique lascive et me souvint d’Andrea qui devait encore pratiquer en bas. Je n’en fus pas plus mal qu’il fallait, même un peu content. Andrea savait maintenant avec certitude l’effet que je pouvais avoir sur les femmes. De toute manière, je n’avais pas à être gêné, Marianne et Sandra m’avait entendu faire jouir l’autre quelquefois. Puis, je perçus le frottement des portes de la bibliothèque. Les pieds nus de Marianne qui approchaient rapidement et son visage dans l’embrasure de ma porte. — Merci. C’était vraiment génial, fit-elle simplement avec un clin d’œil. Je m’en vais pour la soirée. Salut !— Bonsoir, lui lançai-je. Je l’entendis qui descendait à la ...
    ... cave. Moins de cinq minutes plus tard, elle sortait de l’appartement. Il faisait plutôt chaud dans ma chambre et, malgré une certaine fatigue musculaire, je décidai d’aller me rafraîchir dans le sous-sol ombragé et frais. Je pris un livre et sortis de ma chambre, empruntant l’escalier pour rejoindre un fauteuil confortable où j’avais la ferme intention de m’assoupir. Arrivé dans le corridor, je me rendis compte que la musique d’Andrea était plutôt forte et je décidai de lui demander de la baisser. Sa porte était grande ouverte. J’y passai la tête, mais cognai tout de même. Une autre apparition enchanteresse. Je n’en revenais pas. À quatre pattes sur le tapis, le visage s’observant dans le miroir, Andrea s’étirait, probablement terminait-elle sa pratique. Ce qui était surprenant, c’était la plus complète nudité dans laquelle elle se trouvait. À l’exception d’épais bas de laines violets qui lui remontait jusqu’en haut des genoux et de ses souliers de danse, elle était entièrement nue. Son corps, après un exercice aussi long, était constellé de gouttelettes de sueur. Elle avait une jambe tendue derrière elle, gardait les yeux fermés et respirait calmement. J’admirai le creux de son dos, ses fesses fermes qui bougeaient à peine au rythme de ses exercices d’étirements, la cuisse ronde et allongée, le mollet caché sous le bas, le pied en extension. Puis, les seins qui ballottaient doucement, le son de ses expirations, de ses inspirations. Ses cheveux roux retenus par un bandeau. La ...
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