1. Épisode VI : À mon tour ?


    Datte: 23/09/2020, Catégories: fh, jeunes, frousses, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral pénétratio,

    ... scène était empreinte d’un érotisme extraordinaire. Tellement que j’en rebandai, complètement paralysée par cette vision. — Viens donc me faire un massage, plutôt que de me regarder comme ça, lâcha-t-elle, perçant ma rêverie. Je me sentais un peu honteux. Mais devant cette femme si forte, je ne devais pas plier. Je me dirigeai vers elle, m’agenouillai à ses côtés, et passai mes mains sur ses épaules. Elles étaient chaudes mais douces et terriblement attirantes. Je massais puissamment, glissant mes mains vers le centre du dos. Je faisais rouler mes doigts, tirais un peu sur sa peau brûlante. N’y tenant plus, je pris à pleines mains ses fesses et commençai à les caresser. Andrea gémissait sous mes caresses et quand je passais quelquefois près de sa chatte en feu, l’humidité qui s’en dégageait me disait de continuer. Je lui levai la jambe et, des deux mains, je lui fis quitter ses bas et ses souliers, faisant la même chose avec l’autre jambe. Je me remis à masser. Après quelques minutes que je pétrissais son dos, et particulièrement son beau cul, elle tourna la tête vers moi et d’une main levée empoigna mon jean à la ceinture vers elle. — Alors… Marianne a laissé des traces ? demanda-t-elle, plongeant la main dans mon pantalon, agrippant mon sexe bandé. Je me laissai faire et, toujours à quatre pattes, se plaça face à moi. D’une main rapide, elle exhiba à ses yeux mon sexe gonflé, luisant de mon sperme et de la mouille de la blonde. — Oh ! Il y a bien plus là-dessus, ...
    ... ronronna-t-elle, plongeant ses yeux noisette dans les miens. Elle le branla agilement et donna un rapide coup de langue. Je frémis. — Hmmm. Marianne était bonne, mais toi aussi, me lâcha-t-elle, provocante. Andrea, sans plus de procédure, enfourna ma queue dans sa bouche. Je la sentais qui siphonnait toute trace de Marianne et de ma jouissance, je la sentais qui faisait courir sa langue sur mon gland. Elle le ressortit, pour mieux le lécher sur toute sa longueur, allant chercher les dernières gouttes. Puis, elle le reprit en entier et à son air vorace, j’eus bien l’impression qu’elle désirait ardemment que je jouisse dans sa bouche. Elle suçait bien et rapidement. Dans l’état où j’étais, après cette vision d’elle nue et toute chaude, j’eus un soubresaut soudain et je me crispai, lançant mon bassin en avant, et plaquant une main sur sa tête. Je me retins un bref instant, au cas où elle voudrait se retirer. Elle sortit pour mieux englober le gland et le cajoler de sa longue. J’explosai dans sa bouche et je la vis qui avalait à longues gorgées les quelques jets. Je me laissai choir sur le dos, groggy. — Ça fait longtemps que j’ai pas eu un sexe d’homme sous la main. Elle enfourna mon sexe mort dans sa bouche et j’eus bien peur de mourir, mais la jeunesse étant ce qu’elle est, après plusieurs savants coups de langue et plusieurs pompages efficaces, ma queue se remit au garde à vous. Andrea pivota sur ses genoux et se remit à quatre pattes, m’offrant sa croupe délicieuse. — Vas-y. ...
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