1. Intimité (4)


    Datte: 25/09/2020, Catégories: fh, fplusag, couple, extracon, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fist, pénétratio, coprolalie, journal, amourcach,

    J’étais assis, atterré parce que je venais de lire. Ma femme, ma si charmante épouse, la tendre gardienne de notre foyer depuis plusieurs années. Ce modèle d’épouse que je ne croyais attentive qu’à ma propre personne se faisait régulièrement « baiser » par un homme plus jeune qu’elle, et passait une part de ses journées, à jouir dans les bras de cet inconnu dont je n’avais jusqu’ici pas même soupçonné l’existence, et ceci dans notre propre maison ! Quand je suis rentré chez nous. Laurence m’attendait calmement comme à son habitude. Elle avait ses longues jambes dénudées, ne portant qu’une robe courte et était étendue nonchalamment sur le canapé du salon. En interrompant brièvement la lecture d’un roman, elle me gratifia de son familier sourire qu’autrefois je trouvais si réconfortant et qui soudain raviva mes blessures… Je voyais se dessiner sur ses charmantes lèvres, l’expression de la volupté qu’elle voulait me dissimuler. Ce contentement, n’était plus celui que j’avais cru percevoir jusqu’ici, du simple plaisir de me revoir, mais c’était sans doute celui d’une femme qui venait d’être comblée par son jeune amant. Ces lèvres si belles et discrètement maquillées qu’elle avait peut-être apprêté quelques minutes à peine avant que je ne sois là, car j’arrivais toujours à 19 heures précises. Ces lèvres sensuelles et douces, qui accordaient toujours un délicat baiser contre les miennes, avaient peut-être glissé langoureusement il y a quelques instants, le long de la verge de ...
    ... son amant. J’eus alors un léger frisson en recevant cet hommage rituel de ma charmante épouse. C’était comme la sensation absurde que je pouvais goutter dans ce « chaste » baiser, la saveur âcre du sexe qu’elle venait de sucer ! J’appris malheureusement plus tard, que cette sensation n’était peut-être pas si absurde… Au lieu de m’arrêter sur ce qui me faisait souffrir, j’eus l’envie soudaine de me « soulager » de la tension que de telles pensées insinuaient dans tout mon être. Je n’eus qu’un désir alors : la posséder sur-le-champ et de façon brutale, ce qui n’arrivait jamais… Nos rapports à la va-vite n’excluant pas de ma part une certaine attention. Là, je voulais la prendre sauvagement. Je voulais sentir sa douleur entre mes bras, comme pour étouffer la mienne qui devenait insupportable. Je lui arrachai sa petite culotte et eu à peine le temps de percevoir une brève expression de surprise sur son beau visage. Alors que je portai directement ma main à son sexe, qui était hélas sans surprise, déjà humide et chaud, je constatai qu’elle s’abandonnait sans résistance aucune, bien au contraire, à la brutalité de mes gestes. Pendant que je la branlais furieusement en frottant le plat de ma main contre sa chatte de toutes mes forces, je me mis à prononcer d’abord tout doucement, puis d’une voix plus assurée, des paroles dégradantes totalement nouvelles dans ma bouche… — Tu aimes ça ma chienne ?… Tu aimes quand je te frotte la moule comme une catin ?… Réponds-moi… tu veux que je te ...
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