1. Intimité (4)


    Datte: 25/09/2020, Catégories: fh, fplusag, couple, extracon, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fist, pénétratio, coprolalie, journal, amourcach,

    ... n’était pas assez fort pour elle et elle libéra un instant une main, pour faire sauter sans ménagement les boutons du haut de sa robe et libérer sa poitrine superbe et nue. Elle ne portait aucun soutien-gorge, ce qui me troubla encore davantage, car ce n’était pas non plus dans son habitude et je ne pouvais douter qu’elle était quelques instants auparavant en galante compagnie… Comme j’avais la volonté de la punir dans ses entrailles de son infidélité qui me semblait palpable, tant elle était brulante et humide, je voulais corriger ses bouts de seins qui avaient à n’en pas douter plus d’une fois et probablement tout à l’heure, offerts leurs délicieux reliefs, à la bouche gourmande de l’inconnu. Elle n’en finissait pas de jouir. J’étais moi-même dans un tel état d’excitation que je m’allongeai sur elle, toujours en la branlant, de façon à placer mon sexe bandé sur le coin de sa bouche. J’enfonçai profondément ma verge entre ses lèvres et me mis à la baiser ainsi en heurtant violemment le bas de mon ventre contre son beau visage. Je ne pus pas tenir bien longtemps et mon sperme abondant et crémeux, bientôt gicla dans sa gorge. Elle dut en toussant déglutir une partie du liquide blanchâtre qui s’écoula sur la moquette. Je la sentais, entre mes doigts, toujours frémissante de désir et j’eus ...
    ... un plaisir sadique à me retirer d’elle et la laisser en plan, m’offrant le luxe inédit de la voir frustrée d’un orgasme qui semblait imminent. Nous n’avons pas échangé un mot ce soir-là. La situation était singulière. Je réalisai que le fait que ma femme me trompe et même plus, le fait que j’en ai la révélation irréfutable, tout en étant source de ma plus violente souffrance, venait d’être à l’origine du plus profond des plaisirs. Je jouissais de ma femme certes, ce dont je n’étais pas vraiment frustré, mais je jouissais surtout d’une épouse sensuelle, sexuelle et prête soudainement à toutes les avanies, qui vibrait littéralement au contact ferme de mes mains. Il me fallut patienter le lendemain, au courant désormais des moindres espaces que m’offrait son emploi du temps, pour trouver l’occasion de lire la suite de son journal… En classant le cahier de Laurence qui était naturellement lui-même imprégné de son odeur, je prenais ainsi conscience que son attention particulière à laquelle je n’étais pas insensible, d’être toujours fraîchement parfumée lors de mon arrivée, ne devait que peu de choses au désir de me séduire. Cette odeur, qui n’a jamais cessé de m’exciter, me semblait soudain imprégner excessivement son cabinet de travail et avait brutalement une saveur douloureuse… À suivre… 
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