1. Intimité (4)


    Datte: 25/09/2020, Catégories: fh, fplusag, couple, extracon, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fist, pénétratio, coprolalie, journal, amourcach,

    ... prenne comme une petite salope juste pour me vider en toi ? Tous ces mots m’étaient complètement inhabituels et sonnaient presque faut. Un instant j’eus peur de la choquer ou de lui faire penser que je savais quelque chose sur elle, ce qu’étrangement je ne voulais surtout pas ! Sa réaction à la fois me rassura et m’inquiéta… Elle aussi elle se mit d’abord à chuchoter, alors que sa respiration s’accélérait, mais bientôt elle me dit d’une voix de plus en plus forte : — Oh oui ! J’ai envie que tu me prennes et que tu me fasses mal… Je veux être ton petit animal soumis ! J’aimerais tellement te sentir profond !… Baise-moi, prends-moi fort, je t’en supplie !… Elle était devant moi allongée, ou plutôt cambrée par l’excitation, la tête en arrière et la robe retroussée jusqu’à la taille, dans une position de total abandon. Je ne l’avais jamais vue aussi sensuelle. Elle était d’une beauté soudain insolite et effrayante à la fois, comme possédée par je ne sais quel démon. Je me disais que cet abandon sur l’autel de la souffrance, dont j’étais prêt à être le bourreau et le complice, devait être pour elle comme une sorte de rédemption de ses fautes inavouables. Elle voulait sans doute expier les honteuses cochonneries qu’elle venait d’accomplir dans les bras de son amant ! J’étais prêt à décharger sur elle ma rancœur, même si je réalisais qu’au fond une fois encore, j’étais prisonnier de son propre désir. Ne faisant par ma violence, que satisfaire sa volonté la plus profonde. Après avoir ...
    ... frotté son clito de toutes mes forces jusqu’à le faire rougir, j’engouffrai mes doigts dans son vagin et perçus, enveloppant ma main, une sensation chaude et gluante si nouvelle pour moi. Jusqu’alors quand je me sentais glisser dans l’intimité de ma femme ! Bientôt c’est ma main en entier qui se trouva engloutie dans son con et je la fourrai alors de mon avant-bras avec aussi peu de ménagement que je l’avais branlée quelques instants avant. Loin de s’offusquer de la situation si nouvelle entre nous, elle se lâcha complètement et se mit à hurler pour que je la pistonne plus profond et plus violemment encore, tout en vociférant de façon désordonnée des paroles obscènes entrecoupées de spasmes et de soupirs. Je me souviens de certains mots qu’elle éructait, sans avoir la force parfois de constituer des phrases : «salope… cochon… fais-moi du bien… je suis ta chienne… venge-toi sur moi… décharge… plus vite… mets-la-moi… encore… déchire-la… fais-moi pleurer… toujours… » Je la fourrai de mon bras avec une telle énergie que j’en avais mal moi-même. Chaque fois que mon poing buttait contre le fond de son vagin, elle poussait un petit cri aigu et m’encourageait à continuer par les mouvements même de ses deux mains qui s’agrippaient à moi presque au niveau de l’épaule, de telle sorte qu’il aurait fallu faire un effort pour m’extraire de son sexe visqueux. Dans un même temps, je pinçais fermement ses mamelons à travers le tissu de sa robe et cela de plus en plus fort. Mais là encore, ce ...