Saint Matthieu et l'ange
Datte: 27/09/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
religion,
Collègues / Travail
revede,
pénétratio,
... crois que dans les miens, il doit y avoir comme un air affamé, aussi. Elle vient sur moi, contre moi, et la pointe de sa langue glisse sur ma lèvre inférieure puis elle se redresse. Elle fait passer son pull par-dessus sa tête. Son sous-pull. Son tee-shirt. Ses seins sont nus. Je ferme les yeux. Mon cœur bat dans ma gorge. Dans mon sexe aussi. Puis je prends l’un de ses tétons entre mes dents, contre ma langue, une main sur ses reins cambrés. J’en deviendrais dingue. Elle recule et m’embrasse de nouveau, puis descend dans mon cou. Je pose un baiser sur son épaule et je sens qu’elle sourit. Un à un, elle défait les boutons de ma chemise, sans prendre garde à la médaille de Saint-Matthieu que j’ai conservée à mon cou, puis passe ses deux mains à plat, de mes clavicules à mon bas-ventre, pliant ses doigts sous le bouton de mon jean. Je la regarde par en dessous. Dehors, le ciel s’obscurcit. Elle dégrafe mon pantalon et le fait descendre jusqu’à mes chevilles. Voilà, je suis exposé. Enfin, pas complètement. Reste mon sexe, caché derrière un dernier morceau de tissu. Elle semble hésiter. Je me demande pourquoi. Je plaisanterais bien pour détendre l’atmosphère, mais ce n’est pas le moment. Alors, en l’embrassant, je la fais basculer sur le côté, et j’ôte mon caleçon. Elle me regarde fixement. Puis regarde ma queue. Dure. Dressée contre mon ventre. Sa poitrine monte et descend au rythme d’une respiration qui m’apparaît rapide. Finalement, elle retrouve sa place sur moi et reprend ...
... mes lèvres. C’est tendre, cette fois-ci. De mes mains, j’encadre son visage et lui rend son baiser. Et elle descend. Sa bouche : dans mon cou, sur mon torse. Et je sens ses seins qui suivent le mouvement, qui passent contre mon ventre. Je ne peux pas bander davantage. Je ne sais pas où va aller le sang que mon cœur pulse de plus en plus rapidement. Je sais : dans ma cervelle, pour la faire éclater, et je vais devenir dingue. Voilà. Sa langue remonte le long de mon sexe, tendu comme un arc. Moi, je ferme les yeux tellement fort que j’ai l’impression que mes paupières vont éclater. Mon gland est dans sa bouche. Je ne sais plus trop ce qui se passe. Je crois que je suis en train de perdre la raison. Sa langue est toujours là, contre mon frein, et le tout est brûlant, dévorant. J’ai envie de crier ou de pleurer, ou les deux. Je presse sa main dans la mienne. Elle remonte vers ma bouche. Elle a compris. Elle a compris ce que moi-même je n’avais pas saisi : que si elle avait continué quelques secondes de plus, tout aurait été fini. Ma bouche reprend possession de la sienne. C’est bien ça. Je la possède. Je la dévore. Elle, elle gémit. Nous basculons ensemble sur le côté, elle sur le dos, et moi, sur elle. Si je m’écoutais, je m’enfoncerais en elle, là, tout de suite. Au lieu de cela, je l’embrasse, encore, insatiablement. J’embrasse sa bouche et j’embrasse son cou. Elle retire son pantalon, elle retire sa culotte et je glisse mes doigts dans sa chaleur. Je la regarde. Elle ferme les ...