1. Double trouble


    Datte: 29/09/2020, Catégories: fh, couleurs, extracon, Collègues / Travail Oral fgode, pénétratio, fsodo,

    ... l’heure.— Merci, ça ira, j’ai ma voiture. Elle tira sur sa cigarette ; je fis de même machinalement. J’essayais de m’occuper les doigts. — Vous n’avez pas une voiture trop récente ? C’est à cause du quartier, ce serait dommage que vous ayez un pépin.— Ça va, j’ai un utilitaire : ça passe facilement pour une voiture d’ouvrier. Ça ne se fait pas trop de piquer une voiture comme ça, surtout s’il y a rien de valeur dedans. Elle pouffa. — En tout cas, Monsieur Levot, je voulais vous remercier. Elle m’appelait toujours « Monsieur » ; c’était mignon et un peu gênant car ça me donnait plus d’importance que je n’en n’avais réellement. Surtout que je n’étais pas beaucoup plus vieux. — Me remercier pour quoi ?— Bah, c’est plutôt gentil de votre part de prendre du temps avec moi pour tout m’expliquer, surtout vu comment c’est compliqué. Je veux dire, c’est sympa, vous pourriez vous énervez, mais avec vous je comprends.— Haha ! En même temps, c’est un peu mon travail d’expliquer : je suis même payé pour ça.— Non, mais vous pourriez faire le minimum. C’est vraiment gentil.— De rien.— Je ne sais pas comment vous remercier… Je souris. En temps normal, j’aurais peut-être vu une porte ouverte, mais au même moment j’avais l’estomac noué, ce n’était pas le moment de déraper. Je déglutis pour ne pas me retrouver à bafouiller et me donner une contenance. — Je ne sais pas… dis-je bêtement.— Oh, allez-y, j’aimerais vraiment vous signifier que c’est important.— Hum, ça dépend…— Allez-y ; ça dépend de ...
    ... quoi ?— Ça dépend de ce que vous proposez.— Pas de ça, Monsieur Levot, je sens que vous chercher à ne pas dire ce que vous pensez ! C’est pas votre genre, d’habitude ! Elle se tenait droite comme un i. Elle avait l’air à l’aise dans ses pompes, pas comme devant notre tableur Excel plus tôt. — J’ai peut-être une idée, mais je ne sais pas si cela vaut le coup de la dire… hasardai-je en souriant mais en essayant de ne pas détourner le regard. Elle sortit son portable, sembla regarder l’heure, puis elle me dit un truc auquel je ne m’attendais pas du tout : — Vous n’avez pas vu le nouveau gymnase qui a été rénové ?— Euh, non, j’avoue que je ne me suis pas trop renseigné.— Venez, je vais vous montrer où on va emmener les gamins pour notre projet. Ça peut être intéressant que vous voyiez ce que l’on fait au jour le jour.— Euh, OK. On s’approcha de la porte ; elle sortit ses clefs et ouvrit. Elle m’expliqua que le gardien n’avait pas encore pris place dans ce nouveau gymnase. Elle alluma quelques lumières. Après avoir seulement passé un couloir, elle se jeta sur moi, prit ma tête dans ses mains et colla sa bouche contre la mienne. C’était le signal : il ne m’en fallait pas plus pour que je plaque mes mains sur son cul qui n’arrêtait pas de me narguer et je le pétris fort. Elle glissa sa main sous ma chemise ; le contact froid de sa main m’électrisa, et tout en fourrant ma langue dans sa bouche, j’essayais de caresser tout ce que je pouvais. Je remontai à ses hanches rondes pour bien ...
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