Double trouble
Datte: 29/09/2020,
Catégories:
fh,
couleurs,
extracon,
Collègues / Travail
Oral
fgode,
pénétratio,
fsodo,
... innombrables questions, qu’un jour mon appartement n’était pas loin de son lieu de travail. Elle m’avait proposé de passer en milieu d’après-midi afin que je puisse rentrer chez moi ensuite. C’était la fin de l’hiver, et il commençait à faire sombre assez tôt dans la soirée. On reprit tout, on rédige une note à diffuser, je lui remontrai les preuves nécessaires à fournir, comment faire les calculs de salaires sur son ordinateur. — Non, non, pour savoir combien a coûté un salarié sur le projet, on prend le coût total employeur, c’est-à-dire son brut salarial plus les charges patronales.— D’accord, mais pourquoi c’est si différent ? Je soupirai, un peu fatigué. Je réexpliquai une dernière fois. Elle se pencha vers moi pour mieux voir l’écran, et j’eus une vue directe sur sa poitrine. J’ai détourné rapidement les yeux pour pas qu’elle me remarque. De temps en temps elle s’arrêtait pour me regarder et sourire gentiment, voire pouffer. Cela me mettait mal à l’aise. — Pouvez-vous me donner vos factures pour qu’on les revoie ensemble ? lui dis-je.— Oui, pas de problème : elles sont dans ce carton. Elle s’est baissée, et son pull moulant vert s’est relevé. En plus de m’offrir la vue de son fessier opulent, je distinguais au-dessus de son jean un tatouage tribal dans le bas du dos. Je trouve ça vulgaire, habituellement ; un ami les appelle « les tatouages à levrettes ». Mais là, la proximité, le fait qu’elle soit à côté de moi depuis plusieurs heures, et maintenant son cul qui ...
... s’offrait à moi, tout cela faisait que j’avais des démangeaisons dans le bas-ventre. Ce n’était pourtant pas le moment d’avoir une érection, il y avait des collègues à elle encore présentes. Je rapprochai la chaise de la table afin qu’on ne puisse rien voir. — Tenez, regardez… me dit-elle. J’allais pour prendre la facture lorsque nos doigts s’effleurèrent. Je la regardai, un peu confus, comme si j’avais dit à haute voix ce que j’avais envie de lui faire. — Pardon, me dit-elle en souriant, visiblement absolument pas désolée. J’essayai de lire cette putain de facture, mais j’avais la tête beaucoup trop embrouillée. Les chiffres se mélangeaient ; je relus trois fois les mêmes lignes sans rien y comprendre, puis je lui dis : — Bon, avant d’avancer davantage, j’ai besoin d’une clope. Ça ne vous dérange pas ? Ça ne vous fera pas finir trop tard ?— Non, c’est bon, ne vous inquiétez pas. Là, on sera un peu plus tranquille, les autres sont partis, donc c’est moi qui fermerai. En effet, sa dernière collègue venait de la saluer en lui disant qu’elle allait chercher son fils. — Je vous accompagne, compléta-t-elle. Une fois dehors je m’allumai une cigarette puis lui tendis mon briquet. Je voulais rentrer chez moi, et je me demandais si on allait finir vite car cette tension étrange me fatiguait. — Vous habitez loin ? me demanda-t-elle. Toujours ces questions embarrassantes. Pourquoi voulait-elle absolument savoir où j’habite ? — Non, non, ça va.— Car si vous voulez, je peux vous ramener tout à ...