Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (2)
Datte: 29/09/2020,
Catégories:
Hétéro
... petit râle mais ne proteste pas. Les caresses que je prodigue à sa chatte doivent compenser en plaisir les petits efforts que je lui fais faire. N’en pouvant plus, je finis par sortir ma queue, droite comme un I et raide comme la justice, et je me place à genoux derrière elle. J’ai désormais mon pouce dans son cul, et de l’autre main je positionne mon chibre et lui enfile lentement mais sûrement la chatte. Elle est chaude, brûlante, bien humide. « - Hummm... elle est bonne ta petite chatte, Patricia. Tu as bien fait de venir chez moi. Je vais bien te baiser. » Et là-dessus, je commence à la besogner lentement, ma main gauche entre ses fesses tandis que ma main droite lui maintient les hanches. J’accélère, je lui balance des coups de boutoir, je bute à chaque coup de rein tout au fond de son ventre, lui ébranle tous ses organes à cette belle salope. Ça a l’air de lui faire de l’effet, mine de rien. Elle gémit d’abord, puis elle râle, puis elle accueille chaque coup de pine d’un « HAA » bref et désespéré comme si elle ne pouvait endiguer le plaisir qui semble monter très vite en elle. « - Alors », lui dis-je, « ça faisait longtemps qu’on ne t’avait pas baisée comme ça...? — Oh oui, ça faisait... ...longtemps » répond-t-elle avec une voix brisée, hachée, saccadée. « - Et ça a l’air de te faire de l’effet on dirait...! » Elle ne répond pas et continue ses plaintes qui rythment mes coups de queue. « - Tu n’aimes pas. Ça ne te plait pas ? Tu le dis tout de suite, parce que dans ...
... ce cas je vais baiser ta bouche... — Non » dit-elle d’une voix geignarde que je lui connais bien, « continue. » Je sors mon pouce de son trou de balle, lui saisis ses hanches à deux mains et me mets à l’empaler, à l’embrocher sur moi vigoureusement et de façon accélérée. Elle se met à crier. Putain, elle me fait de l’effet ! Je dois ralentir sinon je sens que je vais lui partir tout de suite dans son délicieux fourreau, et que je ne pourrai pas continuer et goûter au reste de son corps. Je donne des ondulations toutes sensuelles, et me penche, j’attrape ses deux beaux nichons (elle doit faire un bon C) que je mets à peloter sans vergogne. Elle se redresse, se colle à moi, et je l’enlace des deux bras tout en la gratifiant de ma houle que je ne stoppe pas. Elle se love contre moi, je la sens terriblement excitée ; d’ailleurs sa main enlace mon cou par derrière. Je l’ai vaincue, je l’ai conquise, elle est à moi. Elle me tend sa bouche, et j’ai la faiblesse de ne pas résister devant son beau visage, ses lèvres purpurines : je l’embrasse à pleine bouche, nos langues se mêlent. Mais mains naviguent de son cou à sa vulve, lui astiquant le bourgeon, en passant par ses seins doux et moelleux. Je lâche un instant sa bouche, me mets à lui lécher sensuellement son cou ; il a un goût amer et sucré tout à la fois, qui rappelle son parfum capiteux. « - Alors », lui dis-je, « tu as envie de te trouver une autre piaule pour le reste de la semaine, tu n’as pas envie de rester là ? — Si tu me ...