Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (2)
Datte: 29/09/2020,
Catégories:
Hétéro
Elle me regarde, visiblement émue. Elle attrape le bas de son élégant t-shirt et le remonte lentement en murmurant : « - Puisque c’est comme ça que tu veux... » Je sens qu’elle va me faire le numéro du style « si tu avais été tendre on aurait pu avoir une histoire ensemble » mais je ne veux surtout pas d’une histoire avec elle, c’est une chieuse, une profiteuse qui m’accaparerait, me pomperait tout, mon temps, mon fric, et qui m’obligerait à lui consacrer toute ma vie. La baiser, c’est tout ce que je veux, même une seule fois, une bonne fois, j’aurai ce dont j’ai envie depuis longtemps. A chacun ses caprices après tout. Elle me révèle son ventre, sa peau très blanche, très pâle, la voilà en soutien-gorge, un soutien-gorge crème. Dire qu’elle disait il y a des années qu’elle voulait faire un régime, qu’elle était complexée par ses bourrelets, cette conne. Son ventre est à peine replet, comme ses flancs. Elle est super bandante. Elle ne lève presque plus les yeux sur moi. Elle a des gestes très lents, elle pose son t-shirt consciencieusement sur le lit. « - Mets-ça sur la chaise. Et défais ta jupe, et tes chaussures, vite ! » Elle s’exécute, elle dégrafe la jupe qui tombe à ses pieds, l’air de rien. J’aime bien son effeuillage méthodique. Mine de rien, même si je la presse, je ne suis pas mécontent que ce strip dure un peu. Je mate, je me rince l’il, je m’en mets plein les mirettes. « - Enlève ton collant. Il est triste en plus. Tu pourrais mettre des bas auto-fixants, au ...
... moins. Je m’attendais à un peu plus d’attention à mon égard. » Elle lève un il mauvais sur moi, l’espace d’une seconde. Elle baisse le collant, s’en débarrasse. « - Reste un peu comme ça, en sous-vêtements, que je profite un peu de la vue. Vas-y, tourne-toi. Hum, t’es vraiment bien foutue. Tu as un corps parfait. Je vais me régaler. Tu as un beau cul. Et tu le sais en plus, n’est-ce pas ? » Pour toute réponse, elle a une petite moue. « - Allez, enlève ton soustingue. Parfait. Tu as encore de beaux seins. T’es une belle femelle. Maintenant tourne-toi et déculotte-toi, je veux voir ton beau cul blanc. » Elle obéit, et d’un geste gracieux elle baisse lentement son slip coordonné. Ses belles fesses, bien blanches comme je m’y attendais et assez larges, apparaissent. Elles ont encore un beau galbe, c’est un beau fessier de soumise, elle doit faire un 44. Je me mets à bander comme un âne. Elle est à poil, enfin, devant moi, offerte. Du pied je fais glisser la carpette qui se trouve sur le côté du lit et la place ainsi au bout du lit. La chambre est grande, il y aura de la place. Elle ne s’imagine quand même pas que je vais la baiser sur un lit. « - Fous-toi à quatre pattes ici. J’ai quand même pitié pour tes genoux, ne te plains pas. » Elle soupire, s’exécute en semblant hésiter, mais mon regard dur qu’elle aperçoit en tournant la tête vers moi lui fait comprendre que ça n’est vraiment plus le moment de discuter. Lentement, elle s’agenouille, puis se penche et fait reposer ses ...