1. Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (2)


    Datte: 29/09/2020, Catégories: Hétéro

    ... bout de mes doigts. Je reprends une bonne quantité de gel et en mets sur le bout de mes doigts de la main gauche, et j’en enduis sa jolie fente qui se met à devenir toute douce et toute glissante. Je la caresse, elle a l’air d’apprécier. « - Il y a combien de temps qu’on ne t’a pas caressé la chatte, Patricia ? — Oh, tu sais, je ne compte plus... Ça fait des années. — Tu aimes ? — Je ne vais pas te mentir, c’est doux, tu fais ça bien. — Et tu ne te caresses jamais...? — Ça, ça ne te regarde pas... » ricane-t-elle. « - Petite vicieuse... » lui dis-je d’un air entendu, en me mettant à lui branler sa vulve qui s’ouvre comme une fleur sous ma caresse. « - Mais non, » soupire-t-elle, « je ne me caresse plus depuis des années... Je préfère qu’on me le fasse » glousse-t-elle. « - C’est sûr, tu as bien raison, c’est autre chose. » Je me mets à la faire reluire plus vite, tout en laissant mes doigts à l’extérieur de sa chatte, tandis que mon majeur gauche commence à déprimer puis à forcer son œillet ; elle pousse un petit « OHH », ma phalange passe son petit anneau : mais c’est qu’elle est serrée, la salope ! « - Dis-donc, » lui dis-je avec contentement, « tu es encore drôlement serrée de ce côté-là... » Mon majeur s’engouffre dans la brèche, et commence à faire des va-et-vient sans s’y enfoncer totalement. Elle se met à haleter : je ne sais pas lesquels de mes doigts lui font plus d’effet : ceux qui lui branlent la vulve ou ceux qui ont investi son fondement et commencent à le lui ...
    ... fouiller à un rythme lent mais implacable. J’insiste : « On dirait que tu n’as pas beaucoup été pratiquée de ce côté-là, ma chère Patricia... — Oh non... je n’aimais pas ça... — Et bah avec moi tu vas aimer... Et puis si tu n’aimes pas, tant pis pour toi, ça sera le même prix... Je vais prendre beaucoup de plaisir à t’enculer, je le sens... — OH... mais alors juste une fois... — Tu rigoles ou quoi ? Tu repars vendredi, c’est bien ça ? Ça nous donne quatre jours, quatre jours où tu vas être enculée matin et soir, je t’en fais le serment. — OH... — Eh oui, la pension est chère chez moi ! Je ne suis pas un pauvre pigeon. Tu vas être logée et nourrie, alors il va falloir m’en donner, crois-moi. Tu vas apprendre qu’on n’a pas rien pour rien dans la vie. » Elle se met à gémir, mais je ne sais pas si c’est sous ma caresse ou si c’est une plainte à cause de ce qui l’attend ces prochains jours. « - Tu vas voir » insisté-je non sans malice, « quand tu repartiras vendredi tu auras été tellement bien travaillée du cul que tu pourras être sodomisée par un cheval ! Et tu auras peut-être du mal à t’asseoir... Enfin, si ton cul n’en peut plus, rien ne t’empêche de chercher une autre pension avant la fin de la semaine... » dis-je Sa croupe d’un blanc de nacre me fait un effet bœuf. Mon majeur arrive maintenant bien au fond de son cul, son canal s’est bien assoupli (les muscles sont moins toniques à cet âge...), et je commence à y introduire l’index en plus, juste une phalange. Elle pousse un ...
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