1. Eva en uniforme - 1


    Datte: 01/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... francs (un peu moins de 2000 €) par mois, mais je n’ai aucun frais. Le travail est délicat, mais il ne me prend que 2 ou 3 h tous les deux jours. Je suis chargé des relations avec Ricci, le délégué syndical. Par moment, ça se passe bien, à d’autres… disons nettement moins bien pour mes fesses. La partie suivante de mon travail de « public relation », c’est de rencontrer des gros clients, souvent étrangers. Il s’agit de leur montrer la ville et de les accompagner dans de bons restaurants et même en boîtes, s’ils ont envie de s’amuser. — Éva ! — Oui la Voix ? (C’est ma Voix intérieure qui intervient chaque fois qu’elle pense que je dois être rappelée à l’ordre.) — Tu n’oublies rien ? — Attends… je leur montre la ville, on va manger, on va en boîte… Ah, oui, tu as raison ! Vous voyez, il est très important que les clients potentiels passent une très bonne soirée. Dans ce cas, ils seront de bonne humeur le lendemain, ce qui les poussera à signer les contrats. C’est très important pour la société et je ne veux pas que 400 ouvriers et 40 employés se retrouvent au chômage. Donc… s’ils le désirent, je les accompagne dans leurs chambres. Et comme par hasard, ils le souhaitent tous. Entendons-nous, ce sont des hommes d’affaires, soignés et propres sur eux. Même très propres. Appelons un chat, un chat, sucer une bite, d’accord, mais il faut qu’elle soit clean. C’est indispensable. Si vous ne me croyez pas, demandez à votre femme. — Éva !! — Quoi encore, la Voix ? — Ça revient à dire ...
    ... que les femmes de tes lecteurs sont des putes ! Ouais, ben, ça se pourrait… Euh, non, c’est pour rire, reprenons : Il est indispensable que ce qu’on vous donne à sucer soit bien clean, toutes les femmes vous le diront. D’accord, monter dans la chambre des Messieurs, ça ressemble un peu à faire l’escorte. Mais en réalité, c’est tout à fait différent. Moi, je suis une « public relation ». D’ailleurs, ils ne doivent même pas me payer. Je suis un cadeau de ma société pour ses bons clients. Mais comme je suis performante dans ce job, je veux dire celui qui se passe dans la chambre, il arrive que des Messieurs satisfaits glissent un billet entre mes fesses. J’accepte uniquement pour ne pas les vexer, bien sûr. Ce qui n’empêche pas que je trouve ça mignon. Mettre un billet dans la fente de mes fesses, c’est un peu comme si c’était dans une tirelire. Notez que j’ai aussi une fente un peu plus bas, mais là, ils mettent autre chose. Rien de plus poétique comme je le raconte, n’est-ce pas ? C’est au petit matin que je suis le plus en forme pour inventer ce genre de chose. Mais là, je commence à avoir faim. Je sors une jambe de mon lit et je shoote dans les fesses de mon mari qui dort par terre, en disant : — Va faire le petit déjeuner, j’ai faim. — Oui, ma chérie. Ce sont les bons côtés du mariage… Je m’étire… Je dois pisser… Ah, j’oublie une chose : il y a maintenant Éva, période « agent d’artistes ». Je vous explique. Ricci est le délégué syndical. Je dois le ménager, sinon il me prend ...
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