Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (4) - Histoires de Sexe

Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (4)

... supposait de rester pas mal de temps pour le remplir. Le pire c’est au moment de payer, cent litres, ça commence à chiffrer. Heureusement que Geneviève avait une bonne carte bleue pour cela. C’est à cette occasion que ma bienfaitrice m’a donné des petits détails sur la voiture. Si Muriel n’avait pas le pied lourd, la voiture pouvait franchir sept cents kilomètres, par contre il fallait éviter la ville car dans ce cas-là l’autonomie se divisait rapidement par deux. J’ai ainsi appris que la limousine ne servait à Geneviève que le week-end, le reste du temps elle avait une voiture dont les seules pièces qui grincent, ce sont les boucles d’oreilles des passagères, pour ceux qui se souviennent de la pub. Ce soir sur la route j’apprenais plein de choses sur la façon de vivre de ma cougar. Elle avait une grande maison avec un immense terrain au bout du RER B, j’imaginais aisément le style de maison qu’elle pouvait avoir. Cela me faisait plaisir car Geneviève et Muriel devenions de plus en plus complices, j’avais l’impression que nous faisions partie d’une famille. ogbottwx Nous avons pris l’autoroute, la même direction que d’habitude, ce soir-là nous sommes passés devant chez moi sans nous arrêter. Geneviève était toujours aussi belle et désirable, mais j’avais l’impression qu’elle voulait parler ce soir, moi j’étais disponible pour faire des folies avec elle. Toutes les deux étions assises dans les sièges dont le bas s’allongeait, nous écoutions du Verdi en musique de fond, pendant ...

... que mon amie m’apprenait plein de choses. Geneviève m’a dit par exemple que sa voiture pouvait tenir tête à de nombreuses sportives, car elle pouvait flirter avec les trois cents kilomètres/heure. Elle a appuyé sur l’interphone pour demander à Muriel de me faire une petite démonstration quand l’occasion se présenterait sans prendre de risque. Je n’ai pas eu longtemps à attendre quand j’ai senti l’accélération de la voiture, j’ai pris la main de Geneviève et je l’ai serrée avec un grand sourire. — La démonstration vous a-t-elle satisfaite madame ? Cela me faisait tout drôle d’entendre Muriel qui vous vouvoyait Geneviève. — C’est parfait Muriel, vous pouvez reprendre la vitesse de croisière. Nous avons continué à rouler et à parler de la voiture, il n’y a pas à dire Geneviève était passionnée par sa voiture. Moi qui pensais adorer cette marque, je me sentais totalement inculte en écoutant la propriétaire d’une de ces limousines. Le temps est vite passé et c’est ainsi que nous sommes sorties de l’autoroute peu avant d’arriver sur Le Mans. Nous avons roulé encore dix minutes avant d’arriver dans un village dont le nom m’a étonné, le même que celui de la voiture. C’est à cette occasion que Geneviève m’a expliqué que le nom de la voiture provenait du nom d’un virage du circuit des 24 Heures du Mans en rapport avec le nom d’un village très proche, nous venions d’arriver dans ce dernier. Nous avons traversé ce village, avant de venir nous immobiliser devant une belle demeure. Muriel ...