Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (4)
Datte: 01/10/2020,
Catégories:
Lesbienne
... est descendue ouvrir le portail et a ensuite entré la limousine dans le parc, c’est Geneviève qui est partie le refermer. Moi j’étais là admirative devant le calme et la beauté du parc, je ne le voyais pas, mais j’entendais un petit ruisseau pas loin, cela rajoutait une touche campagnarde. Le soleil était maintenant couché et la fraîcheur qui s’en suivait était en train de prendre place. Muriel a sorti trois sacs du coffre, moi j’ai pris mon petit sac et nous sommes rentrées dans cette magnifique demeure. À notre grande surprise il y faisait chaud, un grand feu dans la cheminée était très actif, nous avons trouvé ça très délicat de la part du proprio. Il y avait au moins dix pièces dans cette maison, mais nous avons convenu que nous n’occuperions que le rez-de-chaussée. Geneviève nous a attribué les chambres, elles étaient côte à côte toutes les trois. Ces dernières étaient magnifiques, spacieuses, chauffées et décorées avec vraiment beaucoup de goût. C’est Muriel qui s’est chargée de répartir des sacs, bizarrement, il y en avait aussi un pour moi. Je m’imaginais parfaitement passer trois jours ici, avec en plus un cadre magnifique. Alors que j’étais dans ma chambre, en train d’en admirer les détails, Geneviève est arrivée, m’a pris par la main pour m’accompagner jusqu’au lit, et me pousser dessus. Je me retrouvai à sa merci, pour la première fois c’est elle qui prenait les initiatives. À peine quelques secondes lui ont été utiles pour me chevaucher et me voler un baiser ...
... gourmand et passionné. — Cela faisait tellement de temps que j’avais envie de te retrouver sur un lit. En même temps, j’étais consciente qu’en acceptant son invitation, il y avait de fortes chances que je passe à la casserole. En quelques secondes mon entrejambe était en train de prendre l’eau, il n’y a pas à dire elle me faisait de l’effet. Je lui étais totalement offerte, elle me tenait les poignets écartés, j’aimais sa façon de diriger les opérations. Elle m’avait fait complètement allonger sur le lit, et m’avait forcée à écarter les jambes pour se retrouver entre. J’avais envie de m’offrir à elle pour toute la soirée pour qu’elle me fasse tourner la tête et plus encore. À ce moment-là son téléphone a sonné, c’était le traiteur qui nous amenait le dîner, il n’y a pas à dire, Geneviève n’avait pas fait les choses à moitié. Le livreur a tout déposé sur la table de la salle à manger, une partie des choses était encore sous cloche pour conserver la chaleur. — Allez mes chéries, à table. Cela me faisait tout drôle d’entendre cette phrase, car cela sous-entendait que Muriel faisait aussi partie des chéries. Etait-ce de la jalousie ou juste le fait d’avoir loupé quelque chose. Geneviève était en bout de table, Muriel et moi de chaque côté, nous aurions pu être douze ou quatorze autour. Ce qui me faisait tout drôle, c’est qu’il y avait des regards complices entre Muriel, Geneviève et moi. J’avais l’impression que toutes les trois étions de vieilles amantes. Nous nous sommes régalées ...