Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (4) - Histoires de Sexe

Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (4)

... toutes les trois de ce festin, après le repas nous avons toutes mis la main à la tâche pour le nettoyage. Nous sommes ensuite allées regarder un peu la télé, toutes les trois étions assises dans le canapé avec Geneviève au milieu. Même si nous étions occupées à regarder la télé il y avait quelque chose de bizarre dans l’atmosphère comme de l’excitation naissante entre nous. Après avoir regardé un film qui ne marquera pas l’histoire du cinéma, nous sommes parties chacune nous coucher dans notre chambre. Bien évidemment il y a eu le cérémonial du petit bisou de chacune à chacune. Chaque chambre avec son coin toilette, je suis partie me rafraîchir avant de mettre une douce chemise de nuit pour aller me coucher. Je m’attendais à mieux pour une première nuit avec Geneviève. À peine étais-je couchée que j’ai reçu un message de Geneviève qui me demandait si elle pouvait venir me voir, bien évidemment je lui ai répondu que ce serait avec grand plaisir. Je sentais la chaleur qui provenait des bouches d’aération car le chauffage était régulé par le feu dans la cheminée. Maintenant mon cœur battait à cent à l’heure car j’étais impatiente de voir Geneviève arriver, je me suis totalement dénudée, je ne savais pas ce que nous allions faire, mais j’étais prête à tout accepter avec elle. La chambre était dans la pénombre, quand Geneviève a ouvert la porte, mon visage s’est éclairci de plaisir et de joie. Elle portait un petit sac et quand elle a refermé la porte elle s’est approchée de moi ...

... dans la pénombre. Quand elle est arrivée à mon lit, c’est elle qui a allumé la petite lampe de chevet, elle s’est débarrassée de sa longue chemise de nuit toute douce. A partir de là, elle est venue se glisser sous mes draps pour que nous nous embrassions longuement avec passion. C’était la première fois de ma vie que je me retrouvais dans un lit avec une femme et je trouvais sa chaleur et son odeur très érotiques. Ce coup-ci c’est Geneviève qui dirigeait les opérations, comme avant le repas elle était sur moi et elle est venue glisser ses jambes entre les miennes. Sentir la pointe de ses seins érigée entrer en collision avec les miennes m’excitait au plus haut point. De nouveau Geneviève me tenait les poignets écartés, j’adorais m’offrir ainsi à elle. Pendant qu’elle se redressait, ses cuisses effleuraient ma toison pubienne tout humide. Je ne savais pas si je devais être fière ou honteuse de lui déposer de la cyprine sur les jambes. Avec ses jambes, elle me forçait à écarter les miennes, au bout de quelques instants, elle a disparu sous les draps pour aller me manger mon intimité. Face à tant de technique linguale, je ne pouvais que miauler de plaisir. Sa langue s’attardait sur mon petit trou, mon périnée, mon vagin et mon clito ; bref j’avais la totale. Je sentais sa langue découvrir le moindre recoin de mon entrejambe, jamais je n’avais subi un tel traitement, c’était l’extase. Étant chaude depuis beaucoup de temps, je n’ai pas été bien longue à prendre mon pied et pousser ...