1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (4)


    Datte: 01/10/2020, Catégories: Lesbienne

    ... des cris suspects. Dans la pénombre je devinai Geneviève en train de sourire et fière de ce qu’elle venait de me faire vivre. Pendant que Geneviève était en train de s’activer à je ne sais quoi, je suis restée quelques instants dans les vapes, avant de reprendre mes esprits. À ma grande surprise, ma partenaire m’a fait enfiler une cagoule en lycra, avec juste un trou pour la bouche. Que ne devais-je pas voir, compte tenu du fait que nous étions pour ainsi dire dans le noir. Après cela elle m’a attaché les bras aux extrémités du lit, je lui étais ainsi totalement offerte. Elle a ensuite retiré le drap pour se mettre à me picorer la totalité du corps, c’était très agréable. À un moment, elle m’a fait ouvrir la bouche pour me faire sucer un sexe fictif, c’est là que j’ai compris qu’elle avait un gode à ceinture. Il m’était arrivé à plusieurs reprises de sucer des sexes masculins, mais jamais un seul ne m’avait pénétré pour de vrai. C’était donc Geneviève qui allait me prendre mon pucelage mais j’étais prête à lui offrir. Ce gode était en silicone très souple et je prenais grand plaisir à l’avoir en bouche. Quand Geneviève a estimé qu’il était suffisamment lubrifié, elle me l’a retiré et dans de grands bruits je l’ai entendue le fixer à sa ceinture. Quelques instants plus tard, elle s’était repositionnée entre mes jambes et je sentais le gode juste à l’entrée de mon vagin. C’est une femme qui allait me faire femme, mais c’était Geneviève, je lui offrais ma virginité. Ses bras ...
    ... étaient de chaque côté de moi et maintenant je commençais à me faire pénétrer tout en douceur. J’étais heureuse d’ainsi m’offrir à elle, j’essayais de me redresser pour l’embrasser mais à chaque fois elle s’éloignait. La pénétration totale a duré sans doute deux minutes, mais j’ai adoré, maintenant elle commençait à ressortir, puis se lançait dans un va-et-vient en moi. J’adorais sentir la chaleur de ce corps qui me pénétrait, mais me réchauffait aussi l’entrejambe ainsi qu’une partie du ventre. Maintenant que le sexe fictif coulissait bien en moi, Geneviève commençait à me donner des coups de reins de plus en plus puissants. Elle assumait parfaitement son rôle de femme dominante et je pense que dans la vie cela devait être ainsi. Moi qui avais été prise en stop en début d’année scolaire par cette inconnue, je devenais sa maîtresse aujourd’hui. Elle prenait à ce point son rôle d’homme d’un soir à cœur, que si j’avais été détachée, je l’aurais embrassée, je l’aurais griffée de plaisir. Je sentais l’anatomie parfaite du gode dans mes entrailles et je prenais grand plaisir à contracter mon vagin. À chaque fois que je me contractais, je l’entendais soupirer. Elle s’est arrêtée un instant pour reprendre son souffle puis est repartie de plus belle. Maintenant elle s’arrêtait à peu près toutes les dix minutes, mais à chaque fois qu’elle reprenait c’était encore meilleur. J’avais vraiment à faire à une experte pour ce qui est de donner du plaisir à une femme. Par moments elle venait de ...
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