Petit à petit, l'oiseau fait son nid
Datte: 14/10/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
Collègues / Travail
laid(e)s,
caférestau,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
ecriv_f,
... aime se faire pomper, c’est son péché mignon. Je m’applique, je lui aspire les couilles, je passe ma langue entre ses fesses. Je le baise avec ma bouche. En plus, elle est si bonne sa queue que j’y prends un réel plaisir, nul besoin de me forcer. Quelques minutes plus tard, je lui offre même mon cul. — Sodomisez-moi, Bernard, j’aime avoir une grosse bite dans le cul. Il ne se fait pas prier, encore un de ces fantasmes communs à la plupart des hommes. Alors, pourquoi lui refuser ? J’aime qu’il me baise, j’aime qu’il m’encule, j’aime tout de lui, je le veux pour moi toute seule. Je le veux et je l’aurai. Je me caresse pendant qu’il me sodomise, plus loin, plus fort, c’est si bon, je couine, je crie, je hurle ma jouissance. Je suis déchaînée. Cette nuit d’amour est unique dans ma vie, c’est un moment exceptionnel et j’en profite au maximum. Nouveau retirage de capote et nouveau léchage de queue. Mon beau mâle semble épuisé, c’est ça les hommes, ils ne tiennent pas la distance. Je le lèche jusqu’à plus soif, je le lèche partout, le sexe, les couilles, les fesses. Il finit par s’endormir. Au petit matin, le jour pointe à peine que j’ai déjà sa queue dans la bouche. Pour moi, la nuit n’est pas finie. Encore une dernière fois. Cette fois, c’est moi qui viens m’empaler sur son dard. Je le chevauche en amazone, véritable furie à la recherche de la jouissance. De nouveau déchaînée, j’en bave d’envie. J’accélère la cadence, toujours plus loin, toujours plus fort, jusqu’à le faire ...
... grimacer. Je ne veux perdre aucune goutte de son sperme, j’avale chaque goutte, je m’en mets plein la bouche, je m’en délecte. Il me regarde fasciné, complètement incrédule. Je vois dans ses yeux qu’il ne m’imaginait pas aussi cochonne. Je l’ai bluffé, 1-0 en ma faveur, je ferai encore mieux la prochaine fois Une semaine plus tard, j’ai décidé de passer à nouveau à l’attaque. Depuis notre nuit d’amour, plus rien ne s’est passé.« Si tu crois que tu vas t’en tirer comme ça, mon petit père, et bien tu te trompes ! » J’ai hésité longtemps : la jupe ou le bustier, la jupe et le bustier. Non, pas les deux, cela fait trop vulgaire. J’ai opté pour le bustier, cela fait plus choquant, mes seins lourds comprimés par le cuir. En plus la minijupe sans culotte aurait risqué de m’attirer des ennuis, genre entrave à la pudeur. J’ai donc mis le bustier avec une jupe ordinaire et je suis allée ainsi à la mairie. Ça n’a pas arrêté de toute la journée, tout le monde a regardé mes seins. Quand je suis arrivée le matin, Monsieur le Maire a frisé la syncope. Mais, après tout, c’était lui qui l’avait voulu. Il en était gêné, presque sur le point d’aller me demander de me changer. Ceux qui sont venus en mairie ce jour-là ont eu droit à un beau spectacle, beau je ne sais pas, mais étonnant en tout cas. Le soir, le beau Bernard m’a convoquée dans son bureau. Il en était tout retourné. Il a fermé la porte. — Martine, j’ai très envie de vous. J’aurais pu m’en aller et me refuser, je le ferai peut-être la ...