1. Prostitutions


    Datte: 05/10/2020, Catégories: ffh, asie, prost, grossexe, hotel, Transexuels humour,

    ... annuaires, les offices de tourisme, les coffee-shops, à la recherche d’un établissement qui s’appelait ou s’était appelé « The Red Dragon ». On tomba finalement sur un restaurant chinois où les serveurs nous regardèrent comme des ovnis quand on expliqua qu’on cherchait une certaine Stella qui aurait travaillé là une dizaine d’années plus tôt. On en profita toutefois pour y déjeuner le midi avant de reprendre notre enquête. — À mon avis, proposai-je entre deux rouleaux de printemps, pour trouver une pute, autant se renseigner auprès d’une autre pute, non ?— Tu nous demandes notre avis en tant que professionnelles, c’est ça ? rigola Laetitia.— Non, vous vous êtes en free-lance… mais je pense que c’est pas le cas de la majorité des prostituées d’Amsterdam. Un serveur qui avait dû nous entendre papoter se radina. — Vous êtes français ? On acquiesça avec toutefois un brin de méfiance. Mais le type avait juste envie de discuter. — Ça fait du bien d’entendre parler français. Vous êtes en vacances ici ?— Oui, en touristes, pour quelques jours, lui répondit Pauline en battant des cils. Vous connaissez bien Amsterdam ?— Pas mal, oui. Qu’est-ce que vous voudriez visiter ?— On cherche une pute, tranchai-je en le voyant lorgner les décolletés de mes compagnes.— Une pute ? Ben c’est pas ça qui manque, ici… Il suffit d’entrer dans un des rades du Quartier Rouge, et vous devriez trouver votre bonheur.— Non, on cherche une personne en particulier, corrigea Pauline. Vous ne sauriez pas à qui ...
    ... nous devrions nous adresser ? Le serveur sembla réfléchir un instant. Il était sur le point de nous répondre lorsqu’il se ravisa et s’éloigna en nous expliquant : — Attendez, je reviens… je vais aller demander à mes collègues.— En voilà un qui n’a pas envie de nous avouer qu’il connaît bien les bars à putes, constata Laetitia. Mais il se radina un moment plus tard, en nous apportant un plat de bœuf au saté. — Vous devriez aller voir Tony, au bar « The Last Trip ». C’est un Français, il saura sûrement vous renseigner.— Merci beaucoup ! s’empressa Pauline en le gratifiant de son plus beau sourire. *** Quinze heures quarante. Nous attendions bravement l’ouverture du « Last Trip », prévue à seize heures, en faisant les cent pas dans la ruelle au milieu des effluves de marijuana. Deux mecs nous avaient déjà accostés pour me demander combien je faisais pour les filles, et un autre avait essayé de nous refiler de la poudre. Deux nanas entrèrent bientôt par une petite porte sur le côté du « Last Trip », et un type d’une cinquantaine d’années avec une bonne tête de mafieux leva enfin le rideau de fer qui parait la devanture. On s’y précipita aussitôt. Le gars nous accueillit froidement, mais s’adoucit quelque peu lorsque je lui commandai trois cafés. — Ah, mais vous êtes français, on dirait ? Tony, si c’était lui, à l’évidence ne l’était pas. Il avait un accent italien à couper au couteau. J’acquiesçai. Il servit les cafés et de grands sourires de vainqueur à mes compagnes. — Vous êtes ...
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