1. Histoire de chemises de nuit


    Datte: 06/10/2020, Catégories: fh, fplusag, amour, volupté, BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral 69, fdanus, fsodo, ecriv_f,

    Tous les matins ou presque en promenant mes chiens, je la voyais, elle ouvrait ses volets. Elle était là, en robe de chambre, une robe de chambre d’un bleu profond boutonnée presque jusqu’en haut, mais pas suffisamment quand même, pour que je ne puisse apercevoir sa chemise de nuit. Sa chemise de nuit ! ! ! Mon rêve d’adolescent, une chemise de nuit qui paraissait brillante, de loin, on aurait dit un satin. Un satin bleu avec des fleurs, comme en portait ma grand-mère ! C’était une dame d’un certain âge, fraîche comme une rose dans les lueurs du matin, avec la plénitude que donne la maturité. Tous les jours quand je passais, je me disais, qu’il faudrait qu’un jour, j’arrive à trouver une excuse pour l’aborder. Ma timidité me gênait, comment allait-elle le prendre ? En attendant d’avoir le courage d’aller plus loin, j’essayais de promener les chiens à la même heure, me contentant de la saluer, et elle, gentiment, répondait à mon salut, un joyeux bonjour et un grand sourire que je prenais pour un encouragement à aller plus loin. Un jour, mon chien s’étant détaché, il franchit sa clôture et je me suis retrouvé dans son jardin, juste au moment où elle ouvrait sa fenêtre. Cette fois-ci, pris au piège, j’ai bien dû lui parler, pour m’excuser de mon intrusion. Pas de problème, dit-elle, en vous voyant passer tous les matins, je me disais qu’un jour, j’aimerais vous offrir une tasse de café, profitons donc de cette occasion qui nous est donnée de faire plus ample connaissance. Mettez ...
    ... vos chiens dans le jardin et entrez. J’entrais, sa maison était à son image, calme, sereine, une maison de la maturité, des fleurs fraîches dans les vases, des pièces lumineuses, claires, gaies. Elle m’emmena dans sa cuisine, elle venait de faire son café, et il répandait une bonne odeur. Je m’asseyais en face d’elle, de la façon dont elle s’était assise, sa robe de chambre s’entrouvrait, et je voyais le bas de sa chemise de nuit. C’était bien ce que j’avais vu de loin, un satin douillet, bleu avec des petits bouquets de fleurs, clairsemés. Je n’avais qu’une envie, c’était de la toucher. Mais toujours cette timidité, et puis peut-être serait-ce aller un peu vite ? N’allais-je pas l’effrayer, dépasser les limites de la bienséance, et de plus il fallait oser, passer outre toutes mes peurs, et comme d’habitude, une fois parti, je me dirais : « j’aurais dû ». Toujours est-il qu’après cette première fois, ces rencontres devinrent de plus en plus fréquentes, cela devint très vite un rituel auquel nous prîmes de plus en plus plaisir. Elle m’attendait, en chemise de nuit et robe de chambre, le café prêt et nous bavardions de choses et d’autres. Elle me parla d’elle. Quand elle me dit son âge, elle avait 56 ans, je fus fort surpris, je lui en donnait à peine 50, divorcée depuis 15 ans, elle vivait seule, ses enfants étant grands, il n’y avait plus eu d’hommes dans sa vie depuis sa séparation. C’était une grande et belle femme, aux cheveux grisonnants, une poitrine avantageuse, qui se ...
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