1. Histoire de chemises de nuit


    Datte: 06/10/2020, Catégories: fh, fplusag, amour, volupté, BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral 69, fdanus, fsodo, ecriv_f,

    ... laissait deviner, sous ses vêtements, la croupe rebondie se dessinant sous la robe de chambre. J’aimais tout d’elle, ces formes généreuses que je devinais, son sourire, son affabilité, son intelligence. Nous pouvions parler de tout et de rien aussi bien de sujets sérieux que de balivernes, j’aimais son humour, son ironie. Je restais sur la première pensée que j’avais eu en la voyant ; « amie ou amante ». Pour le moment, nous en étions au stade de l’amitié naissante, quant à être amants, j’osais espérer que nous y arriverions . Et moi, j’étais là, avec mes 43 ans, mon attirance pour les femmes plus âgées que moi, les chemises de nuit en satin de mon enfance, et mon désir inassouvi de la toucher, cette chemise de nuit, bloqué par tous ces désirs, n’osant pas, la regardant, la buvant des yeux. Je sentais une telle connivence entre nous, une telle communion d’esprit que s’en était effarant. Dès les premières fois, je m’étais senti tellement en confiance avec elle, que je lui avais parlé de mon enfance, ce que je n’avais fait avec personne jusqu’à maintenant. Le lien qui commençait à nous unir, était si fort que s’en était effrayant, il était là, palpable, réel, et irréel en même temps. Selon les jours, la robe de chambre s’entrouvrait plus ou moins, et je pouvais apercevoir la forme de ses cuisses moulées par le tissu. Puis, un matin alors que nous devisions tranquillement, en bougeant, mon genou a frôlé le sien, je me suis aussitôt reculé, mais elle a rapproché son genou du ...
    ... mien, et a posé sa main sur la mienne, son attitude me surprit, je m’y attendais si peu, tout en me ravissant, éprouvait-elle les mêmes envies que moi ? Etions nous une fois encore, sur la même longueur d’ondes ? N’osant aller plus loin, nous nous quittâmes en nous embrassant chastement .Mais en la quittant, je me dis, que nous avions avancé, et qu’une prochaine fois, j’oserais, peut-être. Un matin, nous étions, là, face à face, pouvant à peine contenir ce désir que nous avions l’un de l’autre, elle prit ma main l’attirant vers sa cuisse, dans l’ouverture de la robe de chambre, sur la chemise de nuit tant convoitée. Qu’elle était douce sous mes doigts, juste comme je l’avais toujours pensé, et sous le tissu, je sentais sa peau frémir. Je la caressais montant et descendant sur sa cuisse, en une caresse de plus en plus appuyée. Elle écarta un peu les jambes me permettant d’en caresser l’intérieur, m’approchant lentement, de plus en plus près, mais, sans jamais le toucher, de son sexe. Les frémissements s’accéléraient. Je continuais à remonter très légèrement sur sa cuisse, la sentant consentante, je m’enhardissais tout doucement et m’approchais de cette zone que je sentais si érogène. Ce besoin que nous avions l’un de l’autre, était si fort, qu’il en était brûlant, nous nous levâmes ensemble, elle me prit dans ses bras, me serrant contre sa poitrine, je sentais la pointe de ses seins durcir, elle ouvrit sa robe de chambre me laissant les caresser au travers du satin. Je passais mon ...
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