1. Histoire de chemises de nuit


    Datte: 06/10/2020, Catégories: fh, fplusag, amour, volupté, BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral 69, fdanus, fsodo, ecriv_f,

    ... l’armoire, et là, devant moi il y avait cette montagne de douceur, prémices de plaisirs. Rien qu’en les regardant, je frissonnais des pieds à la tête, le désir noircissant mon regard. Elles étaient toutes plus attirantes les unes que les autres. J’aimais les porter : depuis mon adolescence, j’avais un impérieux besoin, de voir, de toucher, de porter ce type de chemises de nuit, disons de grand-mère, c’est-à-dire des chemises très longues, très larges, opaques, qui laissaient deviner les formes, mais ne les laissaient pas voir. Il fallait aussi qu’elles soient très douces afin que le tissu soit une caresse sur la peau et ne soit que sensualité, douceur, volupté. Le fait de me voir les porter ne l’a jamais surprise, au contraire, elle aimait me voir évoluer, chez elle, vêtu de l’une ou de l’autre, nous en avions fait faire plusieurs, afin d’augmenter nos possibilités de jeux, et nous disions que nous en avions pour toutes sortes d’occasions, une satin grise pour les grands soirs, une plus courte et un peu usagée, pour le ménage, et aussi toutes celles qui étaient pour l’amour. Elle me disait que j’étais tellement à l’aise et heureux dans ce vêtement, qu’il collait à moi, comme une seconde peau, ce qui aurait pu paraître incongru, ne l’était pas le moins du monde, car disait-elle, elles étaient faites pour moi et moi pour elles. Il y en avait une que nous avions baptisé « petite maison dans la prairie », un tissu à fond écru, avec des petites fleurs bordeaux, un coton ...
    ... gratté, particulièrement doux, avec des volants à l’empiècement et au bas, dans laquelle il faisait bon s’emmitoufler. Nous cherchions des modèles de chemises de nuit dans les catalogues anciens, nous en imaginions, nous faisions les boutiques à la recherche de l’oiseau rare voulant augmenter nos possessions, tout ceci devenant un complément de nos jeux amoureux. Il arrivait, aussi, qu’après avoir posé plusieurs chemises, en tas sur le lit, elle se couchait dessus, se masturbant, elle mettait la paume de sa main sur son pubis, commençant par se caresser doucement, puis elle continuait , prenant son clitoris entre ses doigts, le massant lentement, cherchant cet endroit qu’elle affectionnait particulièrement, qui lui provoquait des sensations si fortes, juste au-dessus, allant de plus en plus vite, le sentant durcir, frémir pour ne plus être qu’une source de jouissance et pour finir son majeur entrant dans ce lieu de douceurs et de délices, elle se pénétrait, entrant et sortant, allant de plus en plus profondément, prolongeant son va-et-vient jusqu’à à l’orgasme. Pendant qu’elle faisait çà, je la regardais faire, ses fesses bougeant, tendant la chemise de nuit, je les caressais, sentant sous mes doigts le frémissement que provoque l’effleurement du tissu sur la peau, regardant cette croupe offerte monter et descendre de plus en plus rapidement, tout en prenant mon sexe dans ma main, je me caressais, et me masturbant nous finissions par arriver au plaisir et à jouir en même temps. ...
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