1. Histoire de chemises de nuit


    Datte: 06/10/2020, Catégories: fh, fplusag, amour, volupté, BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral 69, fdanus, fsodo, ecriv_f,

    ... Parfois, je lui demandais de se mettre à plat ventre sur le lit. Sa croupe s’offrant à moi, à mes regards, puis à mes mains, dans l’attente du plaisir que je pourrais lui donner, de toutes ces sensations plus fortes les unes que les autres, connues ou inconnues, me faisant entièrement confiance et me laissant toutes libertés. Alors, prenant une autre chemise de nuit, avec mon doigt, au travers du tissu, je caressais ses fesses, doucement, l’effleurant à peine, allant, venant dans cette vallée de délices, de plus en plus intensément, lui donnant des sensations comme elle n’en n’avait jamais éprouvées, flirtant avec son anus, que je voyais s’ouvrir comme une fleur, vibrante, offerte, attendant …… Puis je continuais à la caresser faisant des allers-retours de son clitoris à son anus, attentif à la moindre de ses réactions, sentant monter sa jouissance. Mes caresses se précisaient, je m’appropriais toute son intimité, son clitoris dardant sa flèche vers moi, frémissant, son anus me désirant. Elle était là pantelante, n’en pouvant plus d’attendre que je la pénètre et moi je la poussais jusqu’au paroxysme, au maximum du supportable. Elle m’avait avoué, que la sodomie ne lui avait jamais procuré de plaisir et même que les rares essais faits, avaient même été désagréables. Progressivement et doucement, allant de plus en plus loin dans les caresses à chaque fois que nous faisions l’amour, je l’initiais au plaisir que cet partie de son corps pouvait lui donner jusqu’au jour où elle ...
    ... s’offrit à moi, enfin prête. Je la préparais à la pénétration, d’abord , en la caressant avec un morceau de sa chemise de nuit, son anus s’ouvrait comme une fleur sous la caresse du soleil, doucement je l’effleurais la sentant frémir sous mon doigt, tout son être dans l’attente de la jouissance à devenir, puis je pris un tube de vaseline, qu’elle avait acheté spécialement, pour cette occasion là, et je continuais mon massage, de façon de plus en plus précise, la pénétrant doucement avec mon doigt, entrant et sortant, prolongeant mon va-et-vient jusqu’à qu’elle n’en puisse plus, jusqu’à ce qu’elle me crie : « vas-y, je te veux en moi » et je la pénétrais, mon sexe continuant ce que mon doigt avait anticipé, prolongeant ce grand frisson, l’entraînant jusqu’à des sommets de plaisirs inexplorés, ce fût pour elle comme pour moi un moment d’une intensité quasiment insupportable, mais un moment de bonheur incommensurable. . Une autre fois, elle se retourna, me fis m’allonger sur le lit, et là, elle vint se mettre au-dessus de moi, sa chemise de nuit faisant comme un abri où je me blotti avec jouissance, son sexe au-dessus de ma bouche, afin que je puisse la prendre, la fouiller, d’abord doucement, puis en augmentant l’intensité et la pénétration de ma langue en elle, allant de plus en plus loin. Elle se penchant et me prenant à son tour dans sa bouche, sa langue caressant mon gland , jouant avec, le léchant, l’aspirant, descendant tout le long de ma verge, puis me prenant en entier ...
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