1. Histoire de chemises de nuit


    Datte: 06/10/2020, Catégories: fh, fplusag, amour, volupté, BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral 69, fdanus, fsodo, ecriv_f,

    ... promener. Et quand vint le soir, nous avons mis nos caftans, et là, nous avons dîné à la lueur du feu. Quand notre repas fût terminé, nous nous sommes assis par terre, devant la cheminée, et nous avons fait l’amour. Quel délice, je ne sais pour quelle raison, ce fut encore meilleur que d’habitude, la chaleur du feu donnant plus de douceur à nos caresses. Allongés sur le tapis, les flammes nous éclairant, nous nous embrassions avec volupté, mêlant nos langues, nos corps se frottant l’un à l’autre, ma cuisse se glissant entre les siennes elle frottait son sexe dessus, ses mamelons durcis tendaient le satin, j’ôtais son kaftan, et pris son téton dans ma bouche, ma langue allant et venant autour, son excitation égale à la mienne, et pendant ce temps-là, elle caressait mon sexe dressé, sa main allant et venant jusqu’à l’intérieur de mes cuisses, je sentais la douceur du satin sur cette zone particulièrement érogène. Nos caresses mutuelles se faisant plus précises, nous continuâmes ainsi jusqu’à ce que nos corps n’en pouvant plus de jouissance retenue, éclatent ensemble dans un orgasme puissant. Tous nos jeux n’étaient que douceur, suggestions : caresses de l’eau, des tissus, de la main, de nos langues, apercevoir un sein, une cuisse dans une échancrure, deviner une forme, sentir contre nos peaux le frémissement de l’autre, tout cela exacerbait nos désirs, nous laissant présager des bonheurs ineffables, et nous entraînant inexorablement vers la jouissance suprême. Nous aimions, ...
    ... aussi, lors de nos escapades champêtres, pouvoir profiter pleinement des joies de la nature et faire ce que le regard des autres m’interdisait en temps normal, c’est-à-dire me promener dans un jardin, en chemise de nuit ou en robe de chambre. Nous recherchions les endroits isolés, cachés dans la verdure, et nous en profitions donc pleinement, repas pris dehors dans nos tenues favorites, qui se terminaient généralement en faisant l’amour, là, dans la douceur des nuits d’été, sur des pelouses accueillantes avec pour seule musique, les bruits de la nuit, sous le regard bienveillant des étoiles. Que de nuits merveilleuses nous avons passées, ainsi à nous caresser, nous embrasser, nous aimer, loin du monde, l’herbe fraîchement tondue formant un tapis doux à nos corps enlacés, et ivres de jouissance, de caresses, de baisers, les chemises de nuit formant un matelas, sur lequel nous nous allongions nous frottant l’un contre l’autre jusqu’à l’explosion finale. Il lui arrivait, aussi, de venir à moi dans la rue, le matin très tôt, portant sous un manteau, une de nos chemises de nuit fétiches, elle aimait la provocation et le fait que je sois le seul à savoir, ce qu’elle portait, et nous marchions en nous embrassant, je remontais sa chemise et glissait ma main sur son sexe, le caressant, glissant vers ses fesses, qui n’attendaient que moi. Malgré, l’épaisseur des manteaux, je sentais ses seins qui se dressaient, espérant ma main, et sa douceur, sur leur pointes. Le danger d’être découvert ...