1. les premières cho7 (2)


    Datte: 14/10/2017, Catégories: Gay

    ... L’alcool lève les inhibitions, pourvu qu’il en soit de même pour lui. Au premier coup d’œil, il ne me paraissait pas surexcité ni décomplexé, simplement préoccupé. J’ai le sentiment qu’il est déçu et qu’il s’apprête à me rendre son verdict. À mon tour, je vais le rejoindre et prends place face à lui scrutant son verre à moitié vide. Je n’ose plus croiser son regard, il pourrait m’incriminer et trahir l’opinion sans nul doute dévalorisante qu’il avait de moi. À la place, je me concentre plutôt sur ses belles mains et fais abstraction du reste. J’aihonte mais je ne regrette pas mes actes. D’accord, j’ai violé son intimité en allant flairer ses sous-vêtements. Mais, si cela est arrivé, c’est avant tout parce qu’il m’a plu. Chacun ses préférences. — Qu’est-ce que tu aimes dans mes chaussettes ? Il lève son verre, prend une gorgée - un indien sa boisson fétiche au bar- puis, attend une réponse qui vient timidement. — L’odeur. Il fait la grimace et réfute aussitôt. — Elles sentent mauvais ! — Ça dépend pour qui, moi j’adore ton odeur. Une serveuse se pointe à notre table et souhaite prendre commande. Sans hésiter, je lui demande un Gin - ce n’est pas que cet alcool soit le meilleur, mais j’ai le sentiment que lui et moi on forme un bon duo. De plus, je trouve cette boisson chic- Elle prend note et repart en direction du barman. -Je n’ai pas pour habitude de puer des pieds, si elles sentaient c’est parce qu’elles m’ont beaucoup servi ces derniers jours. Il se sentait obligé de ...
    ... justifier, et je ne savais pas quoi répondre. Ça alors, il doit vraiment être embarrassé. Beau gosse, il perfectionne son apparence et ne laisse rien porter atteinte à sa dignité. Sauf peut- être ses chaussettes qu’il conserve plusieurs jours d’affilé. Comme quoi, être un charmeur et hyper canon n’empêche pas certaines inadvertances désinvoltes. — Donc, si j’ai bien compris, si je mets mes chaussettes sales sur la table, tu les renifleras même si j’ai transpiré dedans une journée entière ? — Absolument ! L’image qu’il m’envoie fait envie mais contredit la réalité. Il n’était pas encore préparé à m’offrir un tel assouvissement. Non loin, la serveuse revenait avec son plateau, disposée à nous livrer nos consommations, quand soudain quelque chose effleura mon mollet et vint se poser sur mes cuisses. J’ai tout de suite compris. C’était les jambes du beau gosse, tendues sous la table venues provoquer mes ardeurs. Les chaussettes encore humides, il appuyait avec la pointe du pied contre mon pénis, plongeant ses yeux dans les miens, sans éprouver la moindre gêne face à l’environnement au milieu duquel nous nous trouvions. Je me sentais vigoureux, un peu trop étroit sous mon caleçon. L’odeur stimulante du coton souillé infusait mes narines tandis qu’il tâtait ma verge au revers du jeans. Il ne puait pas des pieds. Il dégageait un arôme tiède et concentré, stagnant mais diffus. Le parfum athlétique filtrait par ses chaussettes. Il portait les caractéristiques des jeunes mecs de son âge, ...