1. les premières cho7 (2)


    Datte: 14/10/2017, Catégories: Gay

    ... typique de l’étudiant en basket contraint aux sudations. Il enveloppait l’air sans que cela devienne irrespirable. Léger et cotonneux, il offrait à mon odorat aiguisé sa propre texture. Les heures entières passèrent. À flirter au contact de ses pieds, ses chaussettes normalement blanches absorbaient une nouvelle teinte et une moiteur sans pareille du gars imprévoyant qui ne se prend plus la tête. C’était assez détonant en fait, surtout au regard de sa minutie. Lui, qui mettait régulièrement du déodorant après la douche, se rasait tous les deux jours et se coiffait avec soin chaque matin se pointant à un rencard avec la même paire de chaussettes que la veille, invraisemblable. L’incontournable paire de “ Lotto“ sport blanche, populaire et bon marché, lui recouvrait les pieds rendus humides du fait de l’épaisseur molletonnée du vêtement. Ce n’est pas moi qui m’en plaindrais. J’adorais l’effluence masculine, en particulier la sienne. Le bel étudiant insoumis avait longuement transpiré dedans qu’elles suintaient bon le mâle dominant. Bien, maintenant néglige-moi autant qu’elles ! Il a joué les prolongations durant à peu près six minutes puis il a eu cette proposition inattendue. — Enlève-les ! L’endroit n’était pas idéal, ai-je opposé d’une voix presque inaudible. Il m’a souri, vaguement déçu, puis bondit de sa chaise en m’ordonnant de le suivre. J’ai aussitôt obéi et je lui ai emboité le pas en direction du comptoir où il se préparait à régler l’addition. Ses chaussures ...
    ... n’étaient pas lacées. J’ai fait comme si je ne voyais rien même si je soupçonnais ses intentions. Une fois dehors, nous sommes revenus chez moi et il nous a enfermés dans ma chambre où il s’est étendu sur le lit. J’ai gardé le silence, fait mine gracieuse, arborant un sourire aimant. Pendant ce temps-là, il a enlevé ses chaussures pour finir en chaussettes. zxmzjjlo Celles-ci étaient maculées, chiffonnées par endroit, moins assainies qu’en début de soirée. Ils les avaient marinées au jus de sa propre sueur, et il n’en résultait qu’une saveur qu’il jugeait incommodante. Il pouvait très bien y avoir de la fumée verte flottant au-dessus, ça ne m’aurait pas dissuadé pour autant. Son odeur insolente décuplait sensiblement mes envies, en bon prince glorieux et imbu de sa dignité, il se languissait de moi et démît en ma faveur son tee-shirt, laissant paraitre un torse nu, endurant et imberbe, musclé juste comme il le fallait. Qu’est-ce qu’il prévoyait en se pavanant torse-poil sous mes yeux et en exhibant ses tennis malodorantes aux joies de mes narines, allez savoir. Je feignais l’indifférence avant qu’il ne me rappelle à l’ordre et me renvoie au statut de lèche- bottes. — Viens les sentir ! Il avait un sourire complice, mais surtout compatissant, parce qu’il savait exactement ce que j’allais endurer en les reniflant. J’ai commencé à m’approcher puis j’ai respiré pleinement son odeur de mâle. — Il a fait vraiment chaud ces derniers jours... Il se défendait comme il pouvait, réduit à ...