1. les premières cho7 (2)


    Datte: 14/10/2017, Catégories: Gay

    ... l’humiliation produite par ses fluides corporels. Elles collent tellement aux pieds que j’ai du mal à pouvoir les enlever le soir. Je veux bien le croire sur parole. Déjà qu’avec l’odeur de cette fin de soirée le festin est divin, malgré le peu d’efforts accomplis, alors qu’est-ce que cela aurait donné après une journée de cours animée. J’ai failli l’interroger sur l’hygiène de ses pieds, les activités quotidiennes pratiquées dans cette paire, si oui ou non il avait déjà répandu son jus à l’intérieur, et s’il lui arrivait parfois d’en revendre certaines, mais j’ai préféré y garder pour moi, car tout cela est nouveau pour lui. Entre deux longues inspirations, le beau novice en chaussettes sales tirait profit de son statut de jeune seigneur, et consentit à mes pulsions par un mouvement abrupt du pied, qu’il avait plaqué sur ma figure. À compter de ce moment, tous mes sens étaient en émoi. Je sens l’odeur de ses pieds prendre forme dans mes cavités nasales. Elle transsude au travers du coton en une sorte de condensation présente sur l’ensemble du vêtement qui s’infuse contre ma peau, embrassant mes lèvres et mes joues. Il a un gout salé qui ne me déplaisait pas, dont je me délectais lorsque ma langue s’abreuvait de ses plantes humides. Je voyais qu’il aimait ça. Une grosseur apparaissait alors sous son jean et m’incitait à persévérer. Je l’entendais qui haletait, déboutonnait son pantalon et mit soudain sa main au paquet. Tout me semble aussi surdimensionné que la première ...
    ... fois. Même ses pieds me faisaient cette impression lorsqu’il se risquait à les introduire dans ma bouche. Sans vergogne, il parvenait à me fourrer ses dix orteils dans la gueule, les jambes repliées en l’air, savourant ce spectacle lamentable mais plus que tout honorant. Il manquait parfois de tact dans la manière de s’y prendre, mais ce n’était pas du tout dérangeant, j’aime autant quand il me malmène. — Enlève-les maintenant ! Ses désirs sont des ordres, sans hésiter j’avais saisi son pied un à un et lui les confisque, puis parvient à les laisser trainer de manière désordonnée sur le couvre-lit. À son tour, il s’était débarrassé du peu d’habits qui lui restait. Le voilà dénudé. Il exhibait une longue et vigoureuse érection, aussi puissante que solide, dont le corps veineux puise une énergie remarquable. — Viens là ! Il pointait du doigt le lit, s’agenouillant dessus. Je pris place auprès de lui, en m’y allongeant sur le dos, ma bouche pile au-dessous de son membre raide. À pleine main, il appuyait ses chaussettes réunies en boule sur mon visage, sans relâcher l’étreinte. Il ronronnait de plaisir, fier de manifester son autorité. Il possédait une conscience si accrue de sa propre séduction, qu’il terminait constamment ses ébats amoureux par un acte de dominance où il forçait ses partenaires à éprouver toute la virilité de son anatomie. Il leur imposait même sa semence au moment du grand final, comme ce fût bientôt mon cas. Il me giclait abondamment dessus, sans épargner ses ...