Tigre (1)
Datte: 15/10/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Pourquoi ? dites-moi ! qui est mon mari ? » D’un autre geste bref, il a maintenant sorti une lame de je ne sais où. Il coupe mes liens d’un coup sec et je tombe à terre. Je m’évanouis encore. Je fais à nouveau le même rêve, je suce un homme à genou devant mon mari. Cet homme c’est le soldat. Cette fois c’est une immense giffle qui me sort du rêve. C’est pas beaucoup mieux. Cette fois je suis attachée des quatres membres sur le dos. Le dos cambré parce que sur une petite table de service. Mes bras et mes jambes sont attachés au pied de la table. Je suis cambrée à cause de l’attache précise de mes pieds qui me tendent les jambes par rapport à mon bassin. Une vraie posture de torture. Il voulait me faire peur. Il a réussi. C’est la tête penchée à l’envers que je le vois à nouveau. Et là je sais que ma vie sera différente à tout jamais. Il est là, il m’observe. Son arme toujours dans ses mains. Mais au bout du canon, mon sextoy, solidement fixé, donnant l’impression que le fusil bande comme le faisait mon ex. Avec la même courbure. C’est surréaliste. Il tourne autour de la table, je me souviens, trois ou quatre fois, comme un fauve qui guette sa proie avant de la dévorer. En silence, en souplesse, le tigre qui s’apprête à achever sa proie. Il s’arrête évidemment devant ma chatte qui est ouverte à cause des liens de mes jambes. Rasée laser, brillante, toujours ruisselante et encore souillée de ma pisse. Je me redresse et je vois le fusil, la queue. Ma tête retombe en arrière. ...
... J’ai peur. C’est avec surprise que je sens le bout de mon jouet commencer à parcourir mon pubis délicatement, de haut en bas jusqu’à effleurer le petit bout de chair qui cache mon clito. On serait dans un autre contexte, je pense que je pourrais adorer ça, je connais mon jouet par cœur et j’adore cette caresse préliminaire d’ordinaire. Je pensais qu’il allait me pénétrer comme un putain de sauvage et non, il continue ces petites caresses et tapes sur mon clito. Tout ça avec un fusil d’assaut comme outil. Cela dure un temps interminable, du haut en bas, sur mes lèvres, à l’intérieur de mes lèvres, sur mon clito, avec juste le gland qui rentre et qui ressort. Je suis une pute, j’aime ça… je mouille. Je pleure. Je ne sais plus. C’est bon. C’est là qu’il l’a senti, il a senti mon plaisir monter et à cet instant ou mon souffle et mon corps m’ont trahi, il a enfoncé le sexe au plus profond de mon ventre. C’est rentré tout seul. Comme dans du beurre. Je suis une vraie pute dépravée. Je me dégoûte. Mais je ne veux pas qu’il s’arrête. Je ne veux plus qu’il s’arrête. La courbure de mon jouet est tendue et arquée vers le haut. La nature l’avait bien doté le salaud. A chaque fois qu’il s’enfonce et qu’il ressort, c’est mon point secret qui est ravagé. A chaque passage je sens que je vais défaillir. Il l’a de nouveau senti. Il accélère. Je vais venir. Je crois que je pleure à nouveau. Et soudain, il arrête. Le jouet est au plus profond de moi. Immobile. Le moindre mouvement et je pars. Je ...