1. Conte hardérotique d'été


    Datte: 10/10/2020, Catégories: Mature, Partouze / Groupe Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... de sa bouche au rythme de la double pénétration qui devenait maintenant bien rythmée. Les six queues des allemands entraient et sortaient en cadence des orifices de nos salopes offertes et soumises.Muets de stupeur, bandants comme des ânes, nous contemplions ça depuis notre « cachette ».Celui qui était sucé, avec application d’ailleurs, par la femme de mon pote déclencha un début de tournante et, en s’adressant à ses copains, vint déloger celui qui enculait ma femme et prit aussitôt la place vacante dans le cul de celle-ci… qui se remit à crier… mais avec un petit gloussement significatif du plaisir qui avait surmonté la douleur.Aussitôt, celui qui se trouvait sous la plantureuse femme de mon pote se dégagea pour venir faire taire ma femme en lui enfournant en bouche sa queue humectée des sucs de la voisine. La chatte de celle-ci fut rapidement occupée par son précédent enculeur qui vint s’affaler sur la banquette pour bien la recevoir à califourchon, alors que celui que ma femme avait bien sucé bien obligée, bite tendue se positionna pour enculer la femme de mon pote, qui, elle aussi, beugla un peu car son entrée dans son cul manquait de ménagement. La bite qui venait d’enculer ma femme vint s’occuper de faire taire ses protestations, alors que ses gros seins étaient malmenés par l’allemand qui fouillait sa chatte.Et là, pendant… un temps interminable… ce fut une fantastique tournante à laquelle nous assistâmes, mon pote et moi muets de stupeur, tant devant la capacité de ...
    ... nos deux salopes à subir ces assauts et à y prendre du plaisir, que devant la taille de ces six queues dantesques qui se succédèrent dans les différents trous offerts et disponibles.Peu à peu, tous sans exception les visitèrent dans les trois orifices… elles ne rechignaient plus à se faire enculer, elles suçaient sans sourciller les bites qui venaient de s’extraire du cul ou de la chatte de l’autre, avec tout le mélange d’odeur et de goût que cela supposait. Les gaillards y allaient de plus en plus fort, usant de nos deux femelles comme de poupées gonflables, se les passant de main en main, de bite en bite, en éructant des onomatopées allemandes que nous ne comprenions pas, ponctuées de quelques « gut, gut ! »… ou d’encouragements en français « salope, salope, salope » « petite chienne de française »… « je te baise à fond »…Ils les retournèrent, elles se firent enculer par celui qui était sur la banquette et prises de face par leur baiseur de la chatte ; les troisièmes vinrent se faire sucer par les côtés ; leurs miches furent malmenées, tripotées et léchées ; de temps en temps quelques galoches langue dardée venaient varier leur plaisir… qui montait… montait… montait…Ils avaient l’air infatigables ces gros teutons, en tout cas leurs engins ne débandaient pas et n’avaient manifestement pas de préférence car ils allaient d’un trou à l’autre, d’une femme à l’autre avec une ardeur constante. Impossible de dire combien de temps cette tournante infernale dura… je jouis dans mon froc ...
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