Ma nouvelle collègue - Histoires de Sexe

Ma nouvelle collègue

... presque sûre de l’avoir entendue se caresser dans les toilettes, reprend Marianne— Caresser ? dis-je étonnée et pas certaine d’avoir bien compris.— Se masturber si tu préfères, me confirme Lisa, ça serait pas la première fois qu’elle fait des trucs de « ouf »— Ah bon ? dis-je curieuse.— Ouais hier j’ai été juste me laver les mains et je suis sûre d’avoir entendu des gémissements derrière la porte du WC.— Elle était peut-être constipée, dit Lisa en rigolant.— Non ça n’avait pas vraiment le même bruit, finit Marianne, et puis c’était bien elle je l’ai vue ressortir des toilettes peu après.— Et elle avait fait quoi d’autre de « bizarre » ? dis-je toujours aussi curieuse.— Un peu dans le même registre, une fois Marc l’a vue dans son bureau avec une robe tellement courte et moulante qu’on l’aurait dit à poil, un truc de pute, tu vois le genre, pour dire clairement ce que Marc n’a pas voulu dire, poursuit Lisa (N.D.A. : Lire « L’odieux chantage »)— Oui c’est vrai, enchérit Marianne, j’ai une copine qui travaille dans le restau en face de l’agence et qui m’a dit l’avoir vue avec cette robe ce jour-là dans la vitrine en train de placer des annonces. Elle m’a dit que l’agence n’avait jamais autant eu de succès (et elle finit en rigolant).— Ouais elle a souvent des tenues plutôt sexy pour son âge et elle est toujours en train de nous coller son décolleté sous le nez mais dommage que j’ai raté celle-là. Elle a battu tous les records ce jour-là on dirait, dit Lisa, et puis elle a des ...

... goûts bizarres, tu te rappelles les cours d’anglais ?— Oui c’est vrai, confirme Marianne, le patron avait trouvé malin de nous coller sa sœur pour nous donner des cours (N.D.A. : Voir « Une formation inattendue »).— C’était un vrai dragon cette bonne femme, les mecs surtout ne pouvaient pas la supporter, dit Lisa.— Ouais, moi non plus d’ailleurs, elle nous parlait comme si on avait 12 ans, nous dirigeait à la baguette pire que si c’était ma mère, et miss décolleté la trouvait très sympa. À croire qu’elle aime être menée à la cravache.— Ouais comme elle est toujours célibataire, ça lui manque peut-être quelqu’un pour la mener à la baguette, ponctue Lisa en pouffant une fois de plus.— Moi c’est mon homme que je mène à la baguette, corrige Marianne en prenant un air de défi, et toi Muriel ? Tu ne me donnes pas l’air de quelqu’un qui se laisse faire.— Oui, j’avoue que t’as raison, j’ai mon caractère et c’est toujours moi qui ai le dernier mot. Comment tu crois que j’ai eu mon 4X4 ? Je me rends compte à la fin de la journée que je suis déçue de n’avoir pas vu quasiment Catherine, certainement car j’espérais avoir quelque chose de croustillant à raconter à mes deux nouvelles copines. Le soir venu je me couche un peu plus tard, Pierre dort déjà. La discussion avec mes deux collègues me revient en tête alors que je cherche le sommeil, Dieu sait pourquoi je suis nerveuse et je n’y arrive pas. J’imagine alors Catherine dans cette fameuse robe très sexy, d’après ce que j’ai compris, ...