1. Ma nouvelle collègue


    Datte: 11/10/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, grosseins, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fouetfesse, fsoumisaf,

    ... pensant que cela allait me faire rire intérieurement. Mais le résultat est tout autre, je sens une bouffée de chaleur me monter au visage, mon ventre se tendre et s’électriser, ma main se porte toute seule vers mon bas-ventre, glisse sous mon slip et trouve un sexe trempé. Mince ! Cette idiote ne m’amuse pas du tout en fait elle m’excite. Je suis un moment abasourdie par cette sensation, moi qui pensais que mon intérêt pour elle n’était qu’une curiosité aiguisée par le commérage et une sorte de besoin malsain d’y participer. Ce n’est pas possible, je n’ai jamais connu ça ! Ma vie défile dans mon esprit dans l’espoir de trouver une explication, j’ai bien connu quelques jeux avec une autre fille étudiante, c’est vrai. Mais c’était il y a si longtemps et puis ce n’était que des jeux même si… Ma main est restée sur mon sexe, la vision du décolleté de Catherine jaillit à mon esprit, Catherine dans cette robe sexy, son cul rebondi, son déhanchement quand elle marche perchée sur ses talons, ses lèvres charnues, son sourire de bécasse, l’odeur de son parfum. Mes doigts s’activent sur ma fente humide, je suis complètement obnubilée par ces pensées, plus les images défilent dans ma tête plus mon sexe s’ouvre, se couvre de sa liqueur et plus mes doigts glissent dessus, pénètrent et finalement je pousse un cri et je jouis plusieurs secondes, dizaines de secondes, je ne sais plus. Mon cri fait que mon autre main se jette sur ma bouche, mais je suis trop sous l’emprise du plaisir pour ...
    ... m’interrompre. Je me détends enfin, quand je me rends compte de ce que je viens de faire la première chose qui me saute à l’esprit est Pierre. Immédiatement son ronflement me rassure, c’est bien la première fois que je le trouve sensationnel ce ronflement. Je suis trempée de sueur, un étrange mélange de culpabilité et de bon souvenir du plaisir pris me prend les tripes. Je viens de jouir en pensant à une autre femme, moi une mère de famille tout ce qu’il y a de plus banal à presque 40 ans. Je n’en reviens pas mais je comprends mieux toutes ces obsessions et curiosités au sujet de Catherine. Le reste de la nuit est particulièrement agité et c’est seulement sur le matin que je m’endors enfin. Heureusement nous sommes samedi et c’est le début de week-end, j’ai une tête à faire peur malgré une grasse matinée plus grasse que d’habitude. Pierre est déjà debout mais je l’évite comme s’il pouvait savoir. La matinée se termine, je suis moins vaseuse qu’à mon réveil mais de plus en plus nerveuse. Le reste de la journée j’engueule ou je réponds sèchement plusieurs fois à Pierre qui file la queue entre les jambes, au propre comme au figuré. J’éprouve de la satisfaction à le voir filer ainsi, après tout c’est de sa faute si j’ai eu ce besoin soudain. S’il s’occupait plus de moi mon esprit n’aurait pas cherché ailleurs une source de plaisir. Le week-end se termine, les sorties du dimanche m’ont changé les idées et détendue. La nuit venue je me couche plus sereine, j’accepte plus ce que j’ai ...
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