Ma nouvelle collègue
Datte: 11/10/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fplusag,
grosseins,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fouetfesse,
fsoumisaf,
... comme d’habitude. Ses seins s’agitent au rythme de ses pas, les faisant apparaître encore plus affolant et imposants. Une profonde inspiration et j’arrive à m’arracher les yeux de ce spectacle. Elle pose ses boîtes à côté de moi, en sort d’autres des étagères et je me retrouve entourée de boîtes et de classeurs posés sur le sol. Soudain le fax se met à cracher une feuille puis une deuxième, je me lève pour aller les chercher quand je bute sur les affaires de Catherine étalées par terre. Je manque de m’affaler sur le sol. Énervée plus par sa présence qui me perturbe toujours autant malgré ma détermination que par le bazar autour de moi, je crie : — Catherine, c’est pas possible ce bordel, je peux pas mettre un pied autour de mon bureau ! Je reste un instant muette devant ma colère soudaine. Moi, ici depuis quelques semaines, je me permets de gueuler comme si j’étais la grande chef. Je m’attends à ce qu’elle se retourne et me demande pour qui je me prends mais non, elle bafouille des excuses : — Excuse-moi, je suis bordélique, je te demande pardon. La voir ainsi courber l’échine devant ma remarque pour un problème aussi futile me laisse silencieuse. Elle s’excuse encore disant qu’elle n’en a plus pour longtemps en prenant une chemise dans l’un des cartons, peut-être nerveuse, elle la répand par terre. Les feuilles volent de partout et tapissent le sol. — Qu’est-ce que je peux être maladroite ! Elle se plie alors en deux à la pêche aux feuilles éparpillées. Elle m’offre alors ...
... une vue majestueuse sur son postérieur gainé de cette espèce de pseudo peau de serpent, son haut ayant glissé sur la taille. Ce cul si rebondi, si parfait se tend vers moi, moi qui voulais tant échapper à son attrait, échapper à ces fesses parfaitement galbées. Son legging se tend, on a l’impression qu’il va éclater sous l’effort, lui moule parfaitement son fessier, me laissant admirer distinctement ses deux paires de fesses charnues. Cette salope fait tout pour me rendre folle. Là, je ne sais pourquoi j’ai une soudaine envie, irrésistible, je n’y résiste d’ailleurs pas plus que quelques secondes, je lui balance une claque énorme sur son cul tendu. Le son résonne dans la pièce. Ma main revient aussi vite qu’elle est partie vers ma bouche, qui reste ouverte de stupéfaction, les yeux écarquillés, je me rends compte de l’énormité de mon geste. Je suis prête à me confondre en excuses mais contre toute attente Catherine est toujours courbée vers le sol, les fesses pointées vers le plafond. Sans se retourner, elle dit d’une petite voix. — Pardon, Muriel, je ne ferai plus, excuse-moi je vais essayer de me corriger. Elle se relève et se tourne vers moi et poursuit : — Ne le dis pas au patron, il m’engueule tout le temps pour la pagaille que je mets. Je n’ai toujours pas dit un mot, trop surprise de la tournure des évènements. Là je me rends compte qu’elle est devant moi, la bouche entrouverte, haletante, sa poitrine se soulève à un rythme rapide. Sur celle-ci se dressent d’ailleurs des ...