Ma nouvelle collègue
Datte: 11/10/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fplusag,
grosseins,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fouetfesse,
fsoumisaf,
... tétons que l’on devine énormes tellement ils tendent le tissu de son haut, ils ont au moins doublé de volume depuis son arrivée. Son visage a pris des couleurs et ses pommettes sont rouges, le sang bat ses tempes, ses yeux brillent bizarrement. — Promis je vais m’améliorer, mais ne le dis pas au patron, hein ?— OK pour cette fois mais range-moi vite ce bordel. C’est sorti tout seul, je n’ai pas eu à réfléchir à comment répondre devant tant de servilité. Le pire c’est que je prends un plaisir énorme à cette situation, je le sens dans tout mon être et plus particulièrement dans mon bas-ventre. Tout en moi aime ça, ma tête se redresse en arrière, mes yeux s’agrandissent, je prends une grosse respiration comme pour mieux apprécier cet instant. Si j’en juge à l’évolution de sa poitrine, à sa respiration, à ses yeux brillants, à la sueur qui perle sur son front, elle aussi même si cela peu paraître dément. C’est même extrêmement déconcertant, heureusement un client arrive et coupe court à notre situation si spéciale. Une fois libre et Catherine repartie dans son bureau, je repense à tout cela. Je me rappelle les réflexions de Marianne sur cette fameuse prof d’anglais si autoritaire et que seule Catherine semblait apprécier. Cela est cohérent avec ce que je viens de vivre, elle y prenait du plaisir j’en aurais juré. Ce qui m’étonne le plus c’est que moi aussi, et même beaucoup. Rien que de penser à nouveau à cette emprise sur elle, ce corps charnel se courber devant moi, cette ...
... claque sur son cul provocant, je suis en transe et j’en serre les cuisses tellement je sens mon sexe prêt à partir en ébullition. L’agence ne s’est guère remplie depuis ce drôle d’incident, la plupart des employés sont toujours dehors, Catherine est une des rares toujours là. D’ailleurs il me semble bien qu’elle ne devrait pas, je fouille l’agenda du personnel que je tiens à jour. Oui, c’est bien ce que je pensais, elle a un rendez-vous cet après-midi, cette gourde a dû oublier. J’éprouve là encore du plaisir à lui donner des noms d’oiseaux, mon moi « mère au foyer » doit lui en vouloir atrocement des choses qu’elle me fait ressentir. Mais mon autre moi voit ici une nouvelle occasion d’aller la retrouver. Je me lève, ajuste mon tailleur pour paraître impeccable et je me dirige vers son bureau. Arrivée à la porte j’hésite la main levée prête à taper à la porte et puis non, j’entre. Elle est derrière son bureau, son visage se lève de son écran d’ordinateur à mon entrée. Il me semble que ses yeux s’illuminent à ma vue, je rêve peut-être. Je prends mon air le plus froid possible et je dis : — Tu as un rendez à 15 h, tu es en retard.— Oh, que je suis bête, je me suis trompée dans mon agenda, pardon.— Décidément tu n’en loupes pas une ! Cela sort de ma bouche naturellement, je n’ai pas réfléchi une seconde. — Oh pardon, je vais essayer de les appeler, ça ne m’arrivera plus.— OK, je dis rien au patron pour cette fois mais fais attention à la prochaine.— Merci, oh merci, ne lui dis pas ...