1. Solange, aventure avec mon chef


    Datte: 12/10/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail grosseins, fépilée, Oral pénétratio, fsodo,

    ... n’étions pas encore mariés… À cette période d’ailleurs, la concrétisation de notre union n’est encore qu’une improbable hypothèse. De plus, n’avais-je pas obtenu son approbation pour m’offrir à la lubricité de notre collègue ? Aussi, comme je n’ai jamais su m’opposer à des mains aventureuses, je me suis laissé aller, m’abandonnant aux caresses qui me faisaient frissonner de plaisir. Pendant que ses mains partaient en exploration sur mon corps, Gabriel me dévorait le cou, la nuque, me couvrait de baisers tout en continuant son soliloque : — Eh bien il y en a suffisamment pour combler un escadron ! Depuis le temps que j’en rêvais de te caresser, de prendre à pleines mains tes avantageuses rondeurs, je suis comblé. Pendant ce temps, j’avais attrapé l’engin qui me battait les fesses et j’avais entrepris de le masser doucement pour accroître encore sa virilité, et en lui offrant ma bouche à embrasser je ne pouvais mieux lui montrer mon acceptation de l’agression dont je serais la victime consentante. Comme nous reprenons notre souffle, je lui murmure : — Gabriel, vous me semblez être dans un état peu convenable ! Vous n’allez pas me faire croire que c’est moi qui en suis la cause ?— La cause, la cause ! Eh bien oui, c’est toi la garce qui me promène chaque jour des melons de concours, qui me remue son petit popotin, sous les yeux, qui me met dans cet état, et qui joue les belles indifférentes. Il y a longtemps que j’ai envie de te baiser.— À ce point-là ?— Oui, je rêve de te ...
    ... planter ma bite dans le sexe, allongée sur mon bureau, ou coincée dans les archives du service !— Hé, mon cher Gabriel, en plus d’être exagérément entreprenant, vous devenez vulgaire !— Excusez-moi, Solange, je voulais dire que cela fait de nombreux mois que je pense à vous.— Dit comme cela, c’est plus correct. Même si j’ai aimé cette idée d’être prise à la hussarde sur votre bureau. Mais dites-moi, Gabriel vous pensez vraiment à moi en ces termes ? Vous avez vraiment envie de me baiser ? Comme vous venez de le dire ?— Oh oui ! Je pense à vous et cela me donne envie de vous baiser. J’ai ce désir depuis le premier jour où vous avez été embauchée. C’est, à ce que je voudrais vous faire, dès que j’en aurais l’occasion, que je pense chaque nuit.— Et vous avez maîtrisé cette envie jusqu’à aujourd’hui ?— Il a bien fallu que je me maîtrise comme vous dites, et puis quand elle est réceptive mon épouse bénéficie de l’état dans lequel mes pensées me mettent. Au début, vous étiez la maîtresse de Valentin Dromoit, et ce gros porc n’est pas tendre avec ceux qui lui piquent ses favorites.— Et maintenant que vous en avez l’occasion comme vous le dites, vous vous lâchez, vous me violez quasiment dans ma salle de bain !— Je n’en peux plus. J’ai cru que j’allais avoir mes chances lorsque vous avez largué le vieux. Mais vous vous êtes entichée de Dedreu, enfin de Pascal, presque immédiatement. Lorsque vous vous êtes installée avec lui, je lui en ai voulu à mort. Aussi, hier lorsque nous avons décidé ...
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