Chasse à l'homme jeune (1)
Datte: 13/10/2020,
Catégories:
Hétéro
... angélique, de ses tâches de rousseur qui lui allaient si bien. Elle était ma définition de la beauté. Ce n’est qu’après avoir pu détacher mes yeux de sa tête que je fus englouti par une autre vision. Elle portait un petit juste-au-corps rose bonbon, affublé d’un incroyable décolleté plongeant vers une poitrine ni trop grosse, ni trop petite. J’avais entendu dire que les seins s’affaissaient avec l’âge. Pas les siens manifestement. Je sentais qu’un gonflement pointait le bout de son nez dans mon pantalon. — Jeune homme, vous allez bien, s’enquit une petite voix agréable non loin de moi ? — Euh… oui, désolé.. madame. C’était elle qui m’avait tiré de ma rêverie ? Combien de temps étais-je resté là à la regarder ? Je rougis honteusement. Sans un mot, je passais ses articles au scanner. Il y avait un peu de tout et -mon cœur ne fit qu’un bond dans ma poitrine agitée- une boîte de préservatif, ainsi qu’un gel lubrifiant. Mon rougissement ne s’est pas arrêté. Cette charmante dame semblait profiter des plaisirs de la vie. j’ai fini par voir la fin de son panier arriver, et elle a voulu procéder au règlement. Je suis redevenu professionnel. — ça vous fera cent deux euros et quatre vingt centimes, s’il vous plaît, lui dis-je avec mon plus beau sourire. Elle me tendit un billet de cent, et se mit à farfouiller dans son sac en cuir. Une minutes. Deux minutes. Trois minutes. J’avais beau aimer la regarder, ça commençait à être lent. Un vieil homme hideux semblait perdre patience à ...
... l’arrière. — Il y a un problème, madame ? — Eh bien… Elle fit une pause. Elle avait un air inquiet. — il me manque les deux euros et quelques centimes, confia-t-elle. Brusquement, une idée me vint. j’avais envie de faire une folie. C’était le moment ou jamais. — Laissez, madame. Ça ne fait rien pour le peu qu’il manque, allez y. Je réglerais ça de mon côté. Vous vous attendiez à quoi ? J’avais dix huit ans, presque aucune expérience avec les femmes. Je n’allais pas lui demander son numéro voyez vous ? Et la différence d’âge était insurmontable, à mon avis. — Vraiment ? Oh merci beaucoup, jeune homme ! Je vous revaudrais ça, ne vous en faites pas ! Elle me fit un sourire qui me fit rougir à nouveau, et partit avec ses achats. Je la suivais un instant du regard. Elle était plutôt petite (peut être un mètre soixante cinq), mais avait de magnifique hanches marquées, mises en valeur par une jolie robe en jean. Ses fesses étaient fournies, et rebondies. Je bandais encore. — Jeune homme, tonna une voix, non loin de moi. Dans mon bureau, immédiatement ! C’était le vieux porc de patron. Tout le monde se retourna vers moi. Même la jolie rousse. Je me suis énervé. Dans son bureau, l’autre con m’a traité tour à tour d’inconscient, d’imbécile, de gaucho-communiste, de délinquant, et de merde. Il a menacé de me renvoyer sur le champ pour faute professionnelle. Là s’en était trop. Je lui ai répondu du tac-au-tac : — Écoutez moi, monsieur. Renvoyez moi, allez y. Mais sachez que je connais des ...