Chasse à l'homme jeune (1)
Datte: 13/10/2020,
Catégories:
Hétéro
... prendre dans mes mains, lécher ses tétons. Mon pénis était bien dur maintenant. Sans doute une bosse déformait-elle mon pantalon. Pendant le trajet, Sophie me parlait de sa vie. Elle avait quarante deux ans, avait été mariée pendant un temps, mais son mari, militaire, était décédé en mission. Elle vivait seule depuis. Elle me confia qu’elle s’était mariée trop jeune. Elle voulait maintenant profiter de la vie et « libre à toi de comprendre ce que tu voudras par là ». Nous nous sommes enfin arrêté devant une petite maison à la façade blanche, et aux grandes fenêtres. Elle a éteint son moteur, mit son frein à main, et m’a regardé, un sourire bienveillant sur les lèvres. Je pensais qu’elle allait sortir, mais non. Elle voulait me parler. — Jean, commença-t-elle, je dois t’avouer une chose : J’ai eu un coup de cœur sur toi. Et apparemment… toi aussi. Elle me montra mon entrejambe. Elle rougit, elle aussi. — Tu sais, reprit-elle, je suis une femme seule. Et j’ai des besoins comme tout le monde. Peut être pourrions nous… Elle ne termina pas sa phrase. A la place, elle posa sa main sur mon entrejambe. Mon sexe était bandé à son maximum. Le sang me monta à la tête, je ne savais plus comment réagir. — Tu en as envie, s’enquit-elle ? Je ne veux pas te forcer. — Oui, murmurais-je immédiatement. J’ai envie de vous. A ces mots, elle m’embrassa. Mon premier baiser avec une femme. Elle prit ma main et la passa sous son soutien-gorge. C’était chaud, et mou. Elle pointait déjà. Je bandais ...
... comme un ours. A son tour, sa main glissa dans mon caleçon. Elle me branla doucement, tout en tournant sa langue dans ma bouche. Ma main malaxait son sein avec douceur. J’entendais mon amante respirer plus fort. Ma bite était à son maximum. Elle me faisait mal dans un si petit espace. Sophie n’arrivait plus à bouger son bras. Elle a quitté mon pantalon, pour y revenir d’une autre façon : elle a déboutonné le jean, et, avec mon aide, l’a baissé suffisamment pour laisser échapper ma bite, fièrement dressé. Je n’avais pas la plus grosse du monde, mais mère nature ne s’était pas fichu de moi. J’étais content de ce que j’avais. Et vu le regard lubrique que me lança ma partenaire, elle semblait satisfaite, elle aussi. Sophie passa une de ses mains sous sa jupe, se trémoussa et fit tomber sa culotte à ses genoux. Tout alla très vite, ensuite. Elle me la mit sur mon visage. Les odeurs de sa vulve mouillée me parvinrent aux narines. Mon excitation était décuplée. Elle prit ma main, écarta les jambes et la posa sur son sexe trempée. Il était lisse. Je croyais deviner le clitoris, et je m’exerçais donc à le masser avec toute la fougue que me procurait l’excitation. Sophie commença à gémir. Mon sexe s’embrasait. Mes doigts partirent plus bas dans sa fente. Je crus remarquer de longue petites lèvres, ce qui m’excitait encore plus : je hais les chattes bien sage et fermée de petites filles. Sophie se pencha et prit mon sexe en bouche. Ma première fellation. Faite par une experte. Elle allait ...