1. Hommage au sein de Sophie Marceau...


    Datte: 14/10/2020, Catégories: collection, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, init, portrait, humour,

    La jeune actrice brune, aux cheveux courts ou longs selon ses préférences, à la lèvre pulpeuse, rieuse ou boudeuse selon son humeur, au regard gris vert, au nez fin et si joliment retroussé, au corps de rêve, en fait fantasmer plus d’un ! Collégiens, spectateurs, téléspectateurs… qui ne l’a pas vue, ne la verra jamais, avec les yeux de la concupiscence, espérant l’aperçu d’un décolleté plongeant, d’une épaule dénudée, d’une cuisse nue, deviné de sa cheville ou de son pied, d’un dos mis en valeur par les lumières d’un génial chef éclairagiste… Image idéale et parfaite de la Lolita de notre fin d’adolescence, de nos débuts dans la vie d’Homme… N’imaginez même pas la voir nue, si ce n’est de dos… sortant de son bain moussant dans lequel, l’homme (mais peut-être pas seulement !) se verrait bien être transformé en bulle de savon aérienne, venant taquiner sa peau… mollement et si peu chastement coincée contre sa chair, à moins d’être saisie par ses doigts fins qui jouent, avec d’autres compagnons de fortune qui forment cette mousse fine qui recouvre et masque le corps aux voyeurs. Ressentez-vous alors la légèreté de son souffle qui vous affole et vous envoie éclabousser son bout du pied qui sort, là-bas, au fond de la baignoire… Ah ! Quelle gloire, quelle destinée… A moins que ce ne soit cette goutte de parfum, qui glisse du bouchon de verre dépoli, s’accroche au pore d’une peau fine qui se graine à votre approche, descend doucement, sensuellement, en laissant sa trace odorante ...
    ... sur cette partie qui relie les deux seins, entraperçus dans le vertigineux décolleté d’une robe du soir, aux lourds tissus de taffetas qui viennent envelopper cette généreuse poitrine et se perd sur le léger rebondi de son ventre de femme… Ah ! Quel honneur que d’accompagner Mademoiselle Marceau tout au long de cette soirée et laisser les hommes se retourner sur la vaporeuse odeur de son sillage, en traversant cette salle dédiée au Septième Art… Elle est de ces jeunes femmes pulpeuses, sensuelles, aux regards aguichants, aux lèvres gourmandes, au corps de déesse callipyge, la hanche si légèrement évasée sur ses cuisses pleines, formant un ventre ensorcelant et une croupe fascinante. Elle fait aussi partie de ces catégories d’artistes, incarnant l’Eternel Féminin, qui appartiennent au Divin. Juste envoyées sur terre pour répandre le rêve et alimenter nos fantasmes masculins. Le scandale, le sulfureux, sont inconnus de Mademoiselle Marceau et si elle les provoque c’est bien malgré elle. De la tenue vaporeuse, excitante, érotisante, à la tenue d’Eve, Sophie de temps à autre se commet pourtant à tomber dans le cliché plus glamour qu’érotique et loin de la pornographie. Seuls, les esprits dérangés se jettent sur le papier glacé et interprètent, scrutent les pâles tirages, examinent à la loupe le moindre détail, y cherchant là de quoi alimenter les rêves inaccessibles. Courbes gracieusement offertes au regard de rapace d’un fan obnubilé par ses chairs. Alanguissement d’une pose ...
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