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Hommage au sein de Sophie Marceau...
Datte: 14/10/2020, Catégories: collection, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, init, portrait, humour,
... vision qui monte vers le genou, puis un bout de cuisse entrevue… Une main, nue, les ongles à l’unisson du vernis carmin, bague simple au doigt. Des doigts qui empoignent la galante et serviable main du voiturier chargé d’accompagner dignement la descente de la limousine, d’où il faut s’extraire avec précautions mais aussi avec tact et délicatesse, celle des félins, pratiquée par celles qui savent se faire désirer par un public impatient qui retient son souffle… Bras nu, épaule nue… Le buste en avant, le décolleté légèrement ouvert vers l’improbable vision d’une poitrine laissée libre pour cause de haute-couture… Enfin le visage se relève. Il est ébloui par les milliers de regards d’admirations qui lui sont portés et les éclairs des photographes… Des centaines et des milliers d’éclairs… Et la multitude se presse, se bouscule, se compacte, gronde et siffle d’admiration. Et soudain, elle explose en un tonnerre d’applaudissements. Salut, ovation, remerciements du public à sa star préférée… Hommage à la star et à la femme. Emoustillée, les cheveux virevoltant dans le vent léger qui balaie ces lieux, la star salue et tente par son attitude de porter un regard émerveillé sur cet engouement sans cesse renouvelé. Et dans un geste plus audacieux que les autres, dans une torsion du buste pour mieux embrasser cette foule qui l’ovationne, la bretelle du chemisier, légèrement lâche, glisse sur l’épaule rondelette, descend le long du bras entraînant un morceau de tissu champagne, ...
... sommairement pyramidal qui couvrait la poitrine et lui faisait un doux et pudique écrin… Instant magique, incroyable, inoubliable… Le sein, libre, nu, apparaît… Sein lourd, volumineux. Masse claire terminée par une grosse aréole brune avec un gros téton cylindrique brun dur, entouré de picots de chair hérissés par l’émotion et la fraîcheur de l’air… Poitrine de jeune femme… Sein de jeune mère… Gorge de star exposée soudainement à la vue de tous… Surprise des uns, régal des autres… Admiration… Cris de joie… Le temps de comprendre, de réaliser, de porter un regard étonné sur l’incident et déjà, rapide la main passe sous le sein, remonte le tissu, glisse vers la bretelle, la réajuste à l’épaule. Et Mademoiselle Marceau pique un fard, se mord la lèvre et jette une regard éperdu, adresse une mimique étonnée, contrite et surprise vers le compagnon qui marche à ses côtés… L’homme, calme, sourit de la scène, de la vision sous l’œil embarrassé mais amusé de quelques autres guest-stars impavides qui n’ont rien perdu du mirifique et féerique spectacle offert par Mademoiselle Marceau. Rires d’embarras, rires complices, rires de bonheur, rires de plaisirs… Crépitement des appareils photographiques… La scène est immortalisée pour entrer de plein pied dans l’Histoire du Cinéma. C’est que pareille scène, naturelle et accidentelle, cela n’arrive pas tous les jours au pied du grand escalier du palais des Festival de Cannes… Et si la plage regorge de gorges affriolantes et arrogantes des starlettes en ...