1. Encore une première fois...


    Datte: 15/10/2017, Catégories: hh, hplusag, voiture, Oral hdanus, hsodo, init, inithh,

    Lorsque je n’étais encore qu’un préadolescent, au hasard des recherches livresques que me poussait à accomplir une inextinguible curiosité sexuelle, je tombai un jour sur cette phrase :Post coitum animal triste, dont le sens me parut d’autant plus énigmatique que mon expérience en matière de plaisir sexuel se limitait alors à des masturbations frénétiques. L’auteur expliquait doctement que l’homme qui cherche à satisfaire ses pulsions sexuelles en copulant ne peut échapper à une loi générale de l’espèce qui veut que les plaisirs du corps génèrent la souffrance de l’âme… Nous étions encore à quelques années de Mai 68 et l’ouvrage, dans lequel je m’étais plongé pour tenter de trouver des réponses à la part inavouable de mes désirs, avait reçu l’imprimatur du Vatican… Animal triste, j’aurais bien voulu, car pour moi c’était plutôt l’absence de coït, la copulation inatteignable qui alimentait le bleu à l’âme, le spleen existentiel ! En effet, je m’aperçus très vite de l’écart qui pouvait surgir entre cette irrésistible attirance, qui me faisait désirer des caresses de garçons et succomber à la tentation d’être pénétré par leurs sexes raidis, et les possibilités de réalisation de scénarios aussi facilement mis en scène. Fantasmer, désirer n’est certes pas rien, mais dans ce domaine seul le poids du réel compte. Le ballet des partenaires potentiels dans un sauna ou un lieu de drague gay en est une constante illustration : je tourne, je vire, je montre, j’échappe, je reviens, je ...
    ... provoque, j’attends, j’espère, je touche, je repars, je m’allonge, je m’exhibe, mince celui-là est trop gros, celui-ci pas assez membré, ou encore trop crade, trop insistant, insuffisamment entreprenant… Comme au manège, avant d’attraper la queue du Mickey il faut souvent faire plus d’un tour… À moins que… * * * * * Il avait garé la voiture dans un chemin qui menait à quelques villas essaimées dans la colline boisée et éteignit les phares pour permettre à la nuit de nous dissimuler. — Ici on sera tranquille, mais garde tes fringues, on ne sait jamais, si quelqu’un arrive…. Devinant mon trouble, il ajouta aussitôt : — Je te rassure, depuis que je viens ici, je me suis jamais fait surprendre. Et pour finir de lever mes appréhensions, il défit rapidement sa ceinture et se soulevant du siège, il fit passer slip et pantalon sur ses genoux pour libérer son sexe. Dans la pénombre, je discernais à peine son membre dressé ; il m’apparaissait magnifique et colossal dans sa nudité, ainsi érigé à portée de main, de bouche, prêt à être saisi, caressé, sucé. Je me tournai et, l’empaumant d’une main, je me mis à le masturber tandis qu’avec ma main libre j’ouvrais ma braguette et sortais ma verge encore flasque. Mon partenaire se pencha alors dans ma direction et prit mon sexe dans sa bouche. Je sentis très vite ma verge se durcir sous l’effet des coups de langue qui circonvenaient mon gland, Cette fellation m’excitait terriblement et j’abaissai mon pantalon jusqu’aux chevilles pour être plus à ...
«1234»