1. Encore une première fois...


    Datte: 15/10/2017, Catégories: hh, hplusag, voiture, Oral hdanus, hsodo, init, inithh,

    ... l’aise. La bouche toujours centrée sur mon sexe, mon partenaire me malaxait les testicules, je sentais les globes sensibles, à la limite de la douleur, rouler sous la peau froncée par ses doigts. Le plaisir que je ressentais était trop intense pour que je puisse continuer à le masturber. Fermant les yeux, je me cambrai sur mon siège pour suivre le rythme des allées et venues de ses lèvres sur mon pénis, aussi je ne sentis pas tout de suite sa main glisser entre mes cuisses et se rapprocher ainsi de mon anus. Ce n’est que lorsqu’un de ses doigts commença à pointer au centre de l’orifice que je compris que nous irions probablement plus loin qu’un simple branle entre mecs. * * * * * Mais n’était-ce pas ce que j’étais venu chercher en faisant ce détour, à la sortie du cinéma, qui me faisait arpenter peu avant minuit le trottoir de ce lieu de drague bien connu de la ville ? La voiture avait ralenti pour me suivre et le conducteur s’était penché côté passager, la vitre baissée : — Tu es nouveau ? Si tu veux, je t’amène faire un tour ? Je n’avais pu prendre le temps de réfléchir, la proposition était si directement branchée sur mes fantasmes que j’ouvris la portière et pris place. Le conducteur avait une trentaine d’années, plutôt costaud, les cheveux châtains coupés assez court ; il semblait émaner de son visage une tranquille assurance à laquelle je ne pouvais que me remettre. — C’est pas libre chez moi, on peut aller dans un coin tranquille que je connais où on pourra se ...
    ... branler. Qui ne dit mot consent et nous étions parti vers les collines qui environnent la ville. Pendant le court trajet, la charge de la conversation lui était revenue, il cherchait visiblement à cerner ce nouveau partenaire. Je m’efforçais de ne lui répondre qu’au minimum de ce que la politesse enseigne, troublé par l’audace qui m’avait poussé à embarquer dans sa voiture, je voulais absolument garder mes distances et ainsi la possibilité d’un complet anonymat. Je lui dis que je m’appelais Éric, que j’étais étudiant en lettres et je finis par lui avouer que mon goût pour les hommes, bien qu’évident depuis des années, ne s’était jamais encore concrétisé dans une rencontre. Il rigola gentiment en posant la main sur ma cuisse. — Une première fois, je m’en doutais un peu à te voir monter en baissant les yeux. T’en fais pas, on va y aller doucement, tu seras pas déçu… * * * * * Sous la poussée, mon orifice anal laissa passer un doigt dont je sentis la présence dans mon rectum. Certes, je m’étais déjà introduit par l’anus divers objets aux formes phalliques pour corser mes masturbations, j’avais même réussi à sculpter à partir d’un manche de pioche un magnifique pénis en bois digne d’un totem africain, grâce auquel j’avais découvert l’orgasme anal. Mais là, c’était bien différent, ce que je sentais fourrager dans mon derrière ne m’appartenait aucunement et échappait totalement à mon contrôle. La pénétration me semblait d’autant plus ardente que mon corps s’y abandonnait, les jambes ...