1. Encore une première fois...


    Datte: 15/10/2017, Catégories: hh, hplusag, voiture, Oral hdanus, hsodo, init, inithh,

    ... relevées et écartées, les pieds prenant appui sur le tableau de bord, je m’offrais, ouvrant mon cul pour l’accueillir au plus profond de mon intimité. Mon partenaire comprit vite que je répondrai à toutes ses avances. Enduisant ses doigts de salive, il entreprit d’assouplir mon sphincter en le travaillant avec insistance. C’est ainsi que ma barrière fut franchie par un doigt, puis un deuxième, puis un troisième, chaque passage dans l’étroit conduit m’arrachant un gémissement de plaisir. Quand il estima m’avoir suffisamment dilaté, il fit basculer le siège en position couchette. — Caresse-toi pendant que je mets une capote, ton petit cul m’excite trop, je peux pas le laisser comme ça, faut que j’te baise. Plutôt flatté de produire un tel effet sur mon premier partenaire, je l’embrassai dans le cou tout en lui disant : — Oui, oui, vas-y, baise-moi, j’en ai trop envie. Je ne le vis pas mettre son préservatif ni prendre le tube de gel dont il m’enduisit le bord du sphincter anal avant de basculer vers moi et de s’installer face à moi, entre mes jambes, les genoux calés sur le bord de mon siège. D’une main, il guida sa verge vers mon trou du cul et je retins ma respiration lorsqu’il pressa son gland contre ma rondelle. Malgré la diligente efficacité de ses préliminaires digitaux, accueillir en moi une verge érigée de si bonne taille n’allait pas de soi et je sentais mon anus se contracter sous la pression de son membre. — Détends-toi et respire tranquillement, je vais te ...
    ... pénétrer en douceur, n’aie pas peur, c’est que du plaisir. Si mon cerveau disait oui, je sentais qu’il n’en allait pas de même de la partie la plus basse de mon anatomie. Il me fit relever les jambes jusqu’à ce que mes pieds touchent le pavillon de la voiture puis, utilisant le pouce et les doigts de sa main droite pour écarter au maximum mon sillon, il plongea son dard vers l’ouverture ainsi dégagée et s’enfonça en moi de tout son poids, en un seul mouvement, comme on épingle un insecte sur une planche d’entomologie. Je dus retenir un cri de douleur. Son sexe était si volumineux et mon cul tout juste défloré encore trop étroit ; il m’empalait en forçant ainsi son passage en moi, semblait me déchirer et je me tortillais, comme brûlé au fer rouge. Mes grimaces explicites l’amenèrent à se retirer très vite mais, en sortant, son énorme membre m’infligea encore une douloureuse brûlure. Il se pencha vers moi : — Sûr que je t’ai fait mal, hein ? Excuse-moi, je te sentais tellement ouvert que je t’ai pris à la hussarde. Et il m’embrassa avec tendresse. Rassuré par la douceur de sa réaction, j’acceptai sans peine qu’il reprenne son œuvre. Après une nouvelle enduction de gel, je sentis vite la douleur s’estomper au profit du retour d’une excitation irradiant dans tout mon bas-ventre. La deuxième pénétration fut la bonne, le passage de son gland puis du reste de sa queue s’effectua en douceur. Je sentais mon anus s’élargir pour gainer et suivre le membre viril qui le franchissait alors qu’il ...