1. Du froid au chaud... au froid... au chaud !


    Datte: 15/10/2017, Catégories: fh, Oral pénétratio,

    ... et souhaitais profiter de tous les moments de ce cadeau qu’il m’offrait et surtout entre ses bras être cette femme sensuelle et m’abandonner à ces doux instants. Il prit mon visage entre ses doigts et le tourna vers le sien. Il prit mes lèvres, y déposa les siennes et, plein de désir, entrouvrit les miennes pour y glisser une langue douce, suave, où nos salives se mêlèrent dans un baiser de plus en plus passionné. De ma main, je caressais ses vêtements trop épais pour pouvoir atteindre la nudité de sa chair que j’avais envie de palper, de sentir sous mes doigts. Les chevaux devaient connaître le chemin, car nul besoin de les guider. Au contact de son corps que je soupçonnais sous ses vêtements, mes sens s’enflammaient, nos cœurs battaient à l’unisson. L’attelage s’arrêta. « Étions-nous donc arrivés ? », pensai-je. Je regardais autour de moi, mais il n’y avait pas âme qui vive ! Toutefois trônait à ma droite, un énorme bonhomme de neige, au cou duquel pendait une grosse écharpe. Au milieu tout un haut un nez tout rouge, un bonnet de travers, et entre ses gros bras un balai. Le tout était si coquasse que j’éclatai de rire. Je sautai toute joyeuse du traîneau, pris la main de mon bien-aimé et en courant nous nous sommes dirigés vers ces grosses boules de neige, semblable à une bonne glace prête à être dégustée. Il n’y manquait que le chocolat, le coulis de framboise, et j’éclatai de rire de mes pensées si dégustatrices. — Attend, lui dis-je avec un regard langoureux et ...
    ... provocateur, tu ne perds rien pour attendre. Contrairement à toute attente Robert m’agrippa par les épaules, et me tira vers lui, son visage devenu soudainement grave. Il me colla contre le bonhomme de neige, mais je réussis à lui échapper et une bataille en règle nous fit retrouver notre âme d’enfant. Le soleil brillait haut dans le ciel, et se réverbérait sur le tapis blanc dans nos yeux et y mettait des étoiles. Il venait de m’attraper et me plaqua au sol. Je me débattais par jeu, nos yeux à tous deux remplis de malice. Son corps se déposa sur le mien et m’immobilisa. Je sentais au travers de son pantalon son sexe durci par le désir. Nous nous embrassions avec passion, et sa main commença à déboutonner mon corsage. Je le sentais trembler. Lorsqu’il parvint à atteindre de ses mains mon soutien et réussit à l’enlever, je ne ressentis nullement le froid de l’extérieur mais la brûlure de son souffle sur ma peau, sa langue qui commença à sucer l’un de mes tétons durcis par le désir. Mon corps ondulait sous le sien. Je n’avais plus qu’une seule envie, c’était de lui ôter ses vêtements afin de pouvoir le toucher, le caresser, et embrasser là, chaque parcelle de son corps. J’étais impatiente de tâter son corps, de sentir son odeur, de ressentir sa chaleur. J’enlevai au plus vite ses vêtements si lourds et si encombrants, nos mains s’emmêlaient dans la hâte, nos bouches se cherchaient. Je passai ma main dans ses cheveux légèrement emmêlés, je les tirai vers moi, son visage plongea dans mon ...
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