1. Du froid au chaud... au froid... au chaud !


    Datte: 15/10/2017, Catégories: fh, Oral pénétratio,

    ... cou, pour venir y mordre cette chair toute douce, et qui à son contact me fit vibrer et trembler. Sa main pendant ce temps là s’était aventurée à me défaire du reste de mes vêtements et haletants nous nous sommes retrouvés sur les peaux de fourrure qui séparaient de la neige, nos corps brûlants. Ses yeux brillants plongés dans les miens, me fixaient avec intensité comme pour mieux me transmettre son envie de moi. Ma main caressait sa peau, son dos, sa nuque, et redescendait le long de sa colonne jusqu’à la raie entre ses fesses. Il émit un son d’approbation à cette approche. Mon souffle s’était accéléré, sa bouche me tétait un mamelon et le pinçait légèrement avec la bouche. — Aaaaaaahhhh mon amour, encore… lui dis-je, c’est tellement bon, continue ! Sa main me caressait le ventre et s’aventurait maintenant entre mes cuisses qu’il avait écartées. Il s’insinuait entre les lèvres trempées de mon sexe, qui coulait sur ses doigts, il y enfonça un doigt, puis deux. Je soulevai mon ventre vers le sien, pour mieux ressentir ce contact si intense et si délicieux. Nous avions roulé l’un sur l’autre, à la limite du bord des couvertures protectrices. Je pris son sexe dans ma main, dur, si dur, j’aimais tant cela ! Et surtout le voir ainsi tout dressé, violacé, en demande. Puis soudainement en moi quelque chose de violent et de passionné se déchaîna. Je l’agrippai par les épaules, le griffai dans le dos, et nous avons roulé ensemble sur la neige glacée. Ensemble et d’un même bond, nous ...
    ... nous sommes retrouvés debout, nous n’avions pas senti le froid, rien que notre chaleur mutuelle qui s’embrasait de plus en plus. Adossé contre le bonhomme de neige, et avant qu’il ne fasse la grimace, je descendis mon visage le long de son torse tant aimé, jusqu’à ce sexe tout tendu, ainsi offert à ma bouche gourmande. Je le suçai, le léchai. Il coulait dans ma bouche, de cette substance si douce à déguster et légèrement salée. Il m’avait pris la tête entre ses mains et m’accompagnait ainsi dans mes mouvements, ses doigts s’agitaient dans mes cheveux. Je sentais dans ma bouche combien son désir montait. Je dégustais la texture de son sexe, son velouté, cette douceur inégalée. Il savait trop bien que j’adorais les surprises et puisque je l’avais plaqué contre ce personnage tout glacé, il me souleva de terre et m’allongea sur le sol, loin des couvertures bien douillettes. Je ne pus protester car il avait appliqué sur ma bouche un baiser des plus torrides où nos langues s’emmêlaient, se cherchaient, s’aspiraient, nos salives mélangées pour ne former plus qu’un seul baiser unique. J’avais froid dans le dos, c’était mouillé et j’ai pensé avec beaucoup de malice qu’il me le paierait plus tard, d’une autre manière… ne dit-on pas que la vengeance est un plat qui se mange froid ? Je pris dans mes mains de la neige autour de moi et à titre de revanche en mis sur son dos. Mais au lieu de ralentir ses ardeurs, ce que je ne souhaitais nullement, il se fit plus insistant, et plongea son ...
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