Du froid au chaud... au froid... au chaud !
Datte: 15/10/2017,
Catégories:
fh,
Oral
pénétratio,
... son cou, et pour me rapprocher encore de ce sexe tant convoité, autour de sa taille. C’est un instant tellement intense pour moi, si spécial, si unique, ce moment-là, jamais le même, et tellement répété. Il sait que c’est important pour moi, ce fragment de seconde où il pénètre la porte de ce nid tout chaud. Je sens la chaleur de son sexe, qui me pénètre de tout son long, se retire, revient, à l’entrée, c’est exaltant, sublime, j’ai terriblement envie qu’il s’enfonce d’un coup, très fort, tout au fond de moi, mais nous savons que ce n’est pas ce jeu-là pour ce soir. Il sait que j’ai envie de subtilités, et de raffinement, là où il excelle ! Je me laisse aller à son expérience, sa vigueur l’emporte et me fait tant de bien. Maintenant il est totalement en moi, et je ressens cette forme d’appartenance totale, cette union entre lui et moi, qui font qu’à ce moment-là exactement nous ne formons qu’un seul être, ensemble soudés, collés l’un à l’autre. Il commence un lent va-et-vient suivi d’un plus rapide, ensuite il s’arrête. Il sait que cela augmente le plaisir de tous les deux, distillé et savamment dosé. J’aime sa douceur, celle qu’il m’offre, ses bras, sa peau, son visage qui me regarde, où ses yeux reflètent pour moi tant de désir, et aussi tellement d’amour. Cet amour qui accompagne chacun de nos gestes l’un pour l’autre. Nos caresses dans le dos, sur le ventre, sa langue qui passe aussi dans mon cou, vient me mordiller là juste dans le creux. Il sait que je ne puis résister ...
... à cette câlinerie, qui pour moi est insupportable, non pas dans la souffrance, mais dans l’exaspération du plaisir, d’une volupté intense distribuée. Je fonds, je frissonne, je me tends, mes mains s’égarent sur ses fesses, les poussent vers moi également pour qu’il me prenne encore plus profondément. Entre temps nous nous sommes mis en portefeuille, il a pris mes seins dans ses mains et il a commencé à titiller les bouts avec deux doigts, à les tourner et légèrement les pincer. Le désir me vrille le bas du ventre. Ma jouissance longtemps retenue, a du mal à ne pas se laisser aller. Mais il est attentif et il sait mettre nos jeux en attente. Il me pénètre ainsi par l’arrière, je me caresse avec les doigts en même temps, nos mains se mêlent dans nos sexes mélangés, mouillés, mais comme c’est bon et délicieux ! Je lui dis que mon plaisir n’est plus très loin et que j’ai envie de me laisser aller. — Viens ma douce, me dit-il, viens laisse toi aller, n’aie crainte, et oublie ! Appartiens-moi, sois mienne, je le veux !— Oui, lui dis-je alors, je suis à toi, tout à fait, je t’appartiens pour toujours. À ces mots, il me pénètre cette fois-ci plus rapidement, plus fort, mais j’en ai envie aussi, le désir se fait plus pressant, plus insistant, je sens dans mon ventre, cette chaleur qui m’envahit, ces frissons qui courent le long de ma colonne, je vibre. Il accélère ses mouvements, il me dit que c’est bon, que mon ventre est chaud, qu’il m’aime, et qu’il se sent si bien en moi, j’écoute ...