1. L'art de se perdre


    Datte: 17/10/2020, Catégories: ff, couple, extracon, fsoumise, fdomine, portrait, initff, Lesbienne

    ... et : — Je crois que tu aimes vraiment ça, tu es plus gouine que bi. Accoudée à l’oreiller je ne réponds rien, elle va vouloir continuer à parler. — Tu as déjà utilisé un sex toy ?— Non, je ne suis pas femme pour ça.— Même pas les petits canards vibrants ?— Non, je ne suis pas gouine depuis longtemps, ça ne m’a jamais concernée.— Tu as trompé ton mari avec des hommes ?— Non, un seulement m’a sautée par surprise. J’étais en outre un peu paf. Je ne pose aucune question, je ne sais pas encore si elle me considère comme une putain ou comme une amante, bien que son attitude ait changé depuis l’incident sur la terrasse. Elle est à la fenêtre, regarde au dehors sans écarter le rideau de voile. Je m’approche, et me colle contre ses fesses en lui entourant le torse, les mains sur ses embryons de seins. Elle renverse la tête en arrière, et je mordille son oreille. Ça y est, je prends l’initiative, j’aime ça. Je me laisse glisser contre elle, en gardant la langue sortie et j’arrive à ses fesses, que j’écarte pour chercher le petit orifice plissé que je titille tout en couvrant la vulve de la paume de ma main. Elle se penche un peu avec des « oui, oui » à peine chuchotés et, petit à petit, j’assouplis son anus pour la guider vers un autre plaisir que j’ignore d’ailleurs moi-même, ne faisant que le deviner, par l’inspiration que me procure cet autre corps de femme. Je l’ai conduite au plaisir en la masturbant de deux doigts, comme une prise électrique, son petit derrière accueillant un ...
    ... doigt. Le soleil se couchait, de l’or rentrait par la vitre entrouverte, illuminant les poussières et exhaussant les odeurs. Quand on a tapé à la porte, et que celle-ci s’est ouverte avant notre réponse, j’ai eu un moment de panique, voyant se renouveler la pluralité de mon initiation. Claire est entrée, en culotte, décoiffée, la peau vernissée de plaisir épanché. — Eh bien, les filles, apparemment, c’était bien, vous aussi. On va boire quelque chose, d’accord ? Pas la peine de se rhabiller complètement. Je passe ma robe directement sur la peau. Corinne s’enroule dans un peignoir de bain. J’ai perdu à cet instant le sens des réalités, une seconde nature s’était éveillée en moi, que seul le contact féminin pouvait révéler. Lorsque mon beau-frère m’avait sautée, j’avais accepté ça comme un incident, pas désagréable, mais sans portée. Quand Claire m’a baisée, j’ai littéralement éclos à l’érotisme débridé. Il a bien fallu se séparer après un apéritif polisson où plusieurs mains sont venues, explorer mon entrejambe, où j’ai touché plusieurs seins. Valérie et Odile, les deux sœurs, ont communiqué les coordonnées de cet étrange club, chaque participante restant, à son gré, anonyme. Lorsque nous sommes remontées dans la chambre, pour faire un peu de toilette, j’ai hésité sur ce que je devais faire. Me laver ou garder toutes les traces de mes ébats, mais Corinne m’a entraînée pour me faire la toilette et j’ai bien senti que le seul souvenir de ses gestes suffirait à me tacher de nouveau. ...
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