1. Rencontre de M


    Datte: 20/10/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, forêt, boitenuit, voiture, amour, dispute, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, jouet, portrait, amourpass,

    ... seule dans sa détresse. Détresse que je n’avais ni saisie ni comprise. Mais certain d’avoir raison. Le lendemain, je l’appelai à son bureau. Je m’excusai de m’être emporté et lui promis de faire un effort de compréhension. Je terminai en lui disant : — À ce soir, ma Biche, Bisous. Pour je ne sais plus quelle raison « importante », je n’ai pas pu me rendre au chalet ce soir-là. Je n’ai même pas pensé à lui passer un coup de fil pour la prévenir. Le lendemain idem. Le surlendemain, un samedi, voulant lui faire la surprise, j’arrivai au chalet vers vingt-deux heures. Personne. La porte, fermée à clef. Pas de bruits de fête dans le lotissement. Je pris mon double de clés, « M » n’était pas là. Je me rendis chez les Vreillet pour savoir où était « mon cœur ». — Elle est partie, tout à l’heure, avec une copine, j’ai cru comprendre qu’elles allaient en boîte à Pierre-Buffière.— Merci, bonne soirée à vous.— Bonne soirée à toi, me répondit Bernard d’un air ironique bien appuyé. Je ne l’appréciais pas vraiment ce Bernard. Il faisait, pour moi, un peu trop l’étalage de son fric. Et surtout, je le soupçonnais, sous ses airs paternels, d’en pincer un peu beaucoup pour Ma "Petite". Je remontai dans ma Mondéo, le mors aux dents avec l’intention de rentrer chez moi. À peine plus de cinq minutes, sur un coup de tête, je fis demi-tour et pris la direction de l’autoroute. Le V6 dans toute sa puissance, deux cents vingt kilomètres à l’heure et à peine vingt minutes plus tard, je me garai sur le ...
    ... parking de la boîte en question. Le « gorille », à la porte, me regarda avec un air étonné. Un « vieux » en costard-cravate, il n’avait pas l’habitude. Peu m’importait. Je passai à la caisse, réglai mon entrée, pris mon ticket de boisson et poussai la porte de ce temple bruyant. Les battants se renfermaient sur mon dos, j’étais planté là, comme un con ! Mais qu’est-ce je foutais là ? Qu’allais-je faire, dire ? Quelle contenance prendre ? Tout se brouillait dans ma tête… et les jeunes qui voulaient entrer, à leur tour, me bousculaient. Sans le vouloir, happé par le flot humain, je me retrouvai devant le bar. Étonné, assommé. Pour donner le change à la barmaid qui me posait la question, je commandai un whisky… Elle me réclama mon ticket, le prit et me servit ma boisson. Un tabouret haut était à ma portée, je m’en saisis et me perchai sur ce mirador cherchant des yeux « M ». À peine une dizaine de danseurs sur la piste, elle n’en faisait pas partie. Je fouillais les recoins d’obscurité pour voir si elle y était attablée avec sa copine. Que des visages étrangers. Mon verre étant fini, j’en commandai un autre, payant à l’avance, la confiance régnait ici. Puisqu’elles n’étaient ni dans la salle, ni sur la piste, elles devaient être aux toilettes. Je n’en quittais plus la porte des yeux. Perdu dans mes pensées, un temps qui me parut interminable, s’écoula. Une tape sur l’épaule me sortit de ma torpeur. — Qu’est-ce que tu fais là, je peux même pas être tranquille. Il faut que tu me ...